Vendredi 13 février - 11
Comme
il voyait qu'elle n'osait dire les mots qu'il voulait entendre, osés,
crus, obscènes il posa ses pieds au creux de l'aine, encadrant sa
chatte et, tout en se branlant, se mit à lui raconter une aventure qui
lui était arrivé.
Elle
l'écouta, laissant la jalousie, la frustration l'envahir au fil du
récit qu'il distillait avec lenteur et plaisir, plaisir de revivre par
les mots ce moment, plaisir qui le faisait durcir de plus en plus,
plaisir qui laissait perler son désir. A la fin du récit, il était dans
un état de tension extrême qui la fascinait totalement et fermant les
yeux, les mots coulèrent de sa bouche comme son plaisir inondait sa
fente.
"J'aimerai être celle qui vous cause cet émoi, celle qui fait monter votre désir, votre envie.
J'aimerai
que ce soit mes cheveux qui caressent vos couilles, qui remontent votre
ventre, que mes seins effleurent votre sexe, que je vous caresse avec
leur bout, que vous les sentiez se frotter à votre gland.
Mon
corps se frotte au votre, je vous effleure, je remonte, mes yeux levés
vers vous. Ma langue remonte votre ventre, votre poitrine. Je lèche vos
tétons, les suce, les mordille, mes mains suivent les contours de votre
corps.
Ma chatte se caresse sur votre verge tendue. Elle s'écartèle,
chaude, mouillée, offerte. Puis je redescend, ma bouche se pose sur
votre gland, le lèche, ma langue joue avec la fente, vous titille, vous
chauffe, vous mouille. Ma langue continue à glisser le long de votre
hampe, la lubrifiant, descend vers vos couilles, lourdes, gonflées de
foutre, Je les prends dans ma bouche, je joue avec elles, les fait
rouler sous ma langue, pendant que je vous prends dans ma main, tendu,
turgescent, pulsant d'envie, je vous branle doucement, sentant votre
désir d'exploser grandir, mais le temps n'est pas encore venu.
Je vous
retourne, ma main tenant votre queue, mes seins vous caressent le dos,
ma bouche se pose sur votre cou, je vous branle doucement, vous serrant
parfois un peu pour vous entendre gémir, mes lèvres , ma langue suivent
la courbure de vos reins, ma langue s'immisce entre vos fesses, elle
insiste pour glisser et aller se loger sur votre œillet, elle vous
masse, vous mouille, j'entends vos gémissements et vos soupirs, alors je
continue à vous branler pendant que je lèche un doigt qui va remplacer
ma langue et tourne, force un peu et pénètre en vous. Vous vous
cambrez, votre sexe tressaute dans ma main, je continue mon va et vient
pour vous détendre. Je ressors mon doigt pour l'humidifier un
peu plus et je recommence pour pouvoir l'enfoncer un peu plus encore.
Vous vous laissez aller, votre corps ondule comme mon corps pourrait
onduler sous la même caresse. Je continue à vous doigter pendant que ma
bouche remplace ma main et je vous prends, vous fait glisser au fond de
ma gorge, me remplissant totalement la bouche, m'écartant les mâchoires.
Vous donnez des coups de rein, baisant ma bouche comme vous
baiseriez mon sexe, oubliant tout.
Ma bouche pleine de vous, je
continue à vous doigter à la même cadence que les coups de queue que
vous me donnez. Je sens votre plaisir arriver, alors j'accélère mon
mouvement, vous enfilant de plus en plus vite. Vous m'insultez, me
traitant de salope, de pute, de chienne et votre foutre gicle,
m'étouffe, m'inonde, coule le long de mes lèvres.
Je vous pompe, vous vide les couilles, contente de vous boire, de vous avaler. Être votre réceptacle, voir votre plaisir naitre dans votre corps, dans vos yeux. Sentir vos mains sur mes joues, dans mes cheveux, comme une récompense donnée à une bonne élève, une bonne servante."
Elle ouvrit les yeux après ces mots et le regarda.
Sans
dire un mot, il se leva, la fit mettre à plat ventre sur le lit devant
lui, lui tirant la tête en arrière, sa queue violacée d'envie retenue,
prête à gicler écartant ses lèvres, forçant ses mâchoires. Il s'enfonça
profondément dans sa bouche, dans sa gorge, comme jamais il ne l'avait
fait auparavant. Ses mains se posèrent sur ses épaules, remontant vers
son cou, il serrait sa gorge, l'étouffant de façon à lui faire ouvrir
plus encore si cela était possible les mâchoires.
Elle ne pouvait faire un mouvement, lui seul contrôlait tout. Elle ne pouvait qu'accepter cet engin qui lui distendait les joues, la faisait baver. Il allait et venait de plus en plus fort, provoquant chez elle des spasmes de rejet mais cela ne le dérangeait pas, au contraire, il semblait apprécier les efforts incontrôlés qu'elle faisait pour alléger cette charge, efforts qui ne servaient à rien sauf à l'exciter et à le rendre un peu plus violent. Il serrait sa gorge de plus en plus, tout en lui disant qu'il appréciait de la voir ainsi soumise, les larmes coulant sur ses joues, les maculant de mascara. Elle sentait que sa jouissance allait exploser, la remplir de son foutre. Il donna un dernier coup de rein, lui défonçant la gorge et il gicla en l'insultant et en lui tirant les cheveux pour qu'elle garde cette position et qu'elle le boive en totalité, qu'elle ne laisse rien perdre de breuvage.
Lorsqu'il
eut fini de décharger, il lui asséna une paire de claques en lui disant
que cela était la punition pour avoir autant tardé à répondre à son
souhait. Dorénavant elle devrait veiller à obéir sans rechigner, sans
fausse pudeur, à accepter le fait qu'elle était une putain, sa putain
et qu'il était le maître absolu de son corps, de son esprit, de ses
mots, de ses plaisirs.....