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Snejana

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10 octobre 2014

Sorina

Sorina était attendue avec impatience. Son voyage avait été payé et on avait envoyé une voiture la chercher à l'aéroport. Elle débarquait d'un pays de l'est, à la recherche d'une autre vie. L'innocence avait depuis longtemps quitté son environnement et elle naviguait d'un plan à l'autre, dérivant toujours plus.

Elle cherchait du regard afin de trouver son interlocuteur. Elle ne le connaissait pas vraiment, leurs contacts étaient restés virtuels via une webcam. Elle avançait lentement vers la sortie, tirant derrière elle sa valise, et elle le repéra dans la foule de ceux qui attendaient amis ou famille. Soulagée, elle se redressa, bomba le torse et s'avança vers lui. Il ne bougea pas, attendant qu'elle le rejoigne. Il la salua, lui demandant si le voyage avait été agréable. Sans attendre la réponse, il fit demi tour et se dirigea vers la sortie, sans prendre la peine de vérifier si elle le suivait et sans lui proposer son aide pour son bagage. Elle trottinait, essayant de marcher à son allure, mais ses talons hauts, démesurés ne l'aidaient pas. Avant d'embarquer elle avait tenu à se changer, pensant ainsi correspondre au mieux aux volontés de son interlocuteur. Le résultat n'était malheureusement pas du meilleur gout.  Sa robe achetée via internet, trop collante, trop courte, trop décolletée, ses chaussures, véritables échasses, la faisait tanguer comme un bateau ivre et que dire de son maquillage !  Tout cela, elle en faisait la découverte en voyant les regards goguenards ou choqués qui se posaient sur elle. Que cette aérogare était gigantesque, à croire qu'elle n'arriverait jamais aux portes menant à l'extérieur.  Enfin elle le rejoignit devant la voiture, un gros 4x4 allemand. Le chauffeur descendit et attrapa son bagage pour le mettre à l 'arrière, pendant que son hote lui ouvrait la portière pour qu'elle prenne place à l'arrière, ce qu'elle fit aussitot.  Il fit le tour du véhicule et s'installa à côté d'elle.

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15 février 2013

Ecriture 5

Cette caresse brulure continuait et ses larmes coulaient, endiguées par le bandeau. Des voix chuchotaient autour d'elle, mais elle ne pouvait saisir la teneur des propos, d'ailleurs elle ne préférait pas. 
Une main se posa sur sa peau et elle en sentit la fraicheur, l'appréciant comme un baume contre le feu qui dévorait sa chair. 

La corde qui maintenait ses poignets et la tendait comme un arc se detendit et elle se sentit glisser. On la retint, l'empêchant de tomber. Des bracelets se refermèrent sur ses chevilles et on lui écarta les jambes. Elle entendit le cliquetis de la fermeture des bracelets. Cette fois, elle était poings et pieds liés. Plusieurs personnes étaient autour d'elle. Elle avait de plus en plus de mal à suivre les propos, sa fatigue devenait intense et son esprit s'évadait, flottant entre réalité et imaginaire. On appuya sur son dos, l'obligeant à se pencher en avant. On  dégrafa son soutien gorge, libérant ses seins de leur dentelle. Deux mains se fermèrent sur ses globes, les malaxant, tirant doucement sur leur pointe, les titillant, les pinçant.

C'était insoutenable ce sentiment d'impuissance, tout entendre, sans vraiment saisir le propos. Elle essayait de découvrir si elle connaissant une de ces personnes qui étaient dans la pièce avec elle. Mais le bandeau posé sur ses yeux l'assourdissait et déformait les voix. Pourtant peu à peu elle faisait la différence entre les voix. Il y avait apparemment quatre personnes, les voix semblaient masculines. Elle se rendait compte qu'une excitation faisait vibrer ces voix.
Une main attrapa un téton et avant qu'elle eut le temps de comprendre, elle sentit la froide et aiguisée morsure d'une pince. Elle se mordit les lèvres au sang, étouffant ainsi le cri qui gonflait sa gorge. D'ailleurs, la manoeuvre se renouvela sur l'autre sein. La douleur la faisait trembler. Des doigts venaient vérifier la tension de ces petites machoires d'acier qui meurtrissaient sa chair. La souffrance devenait supportable, inconfortable mais supportable. 
On la releva et le frais d'un verre se posa sur ses lèvres. Le liquide glissa, rafraichissant, le verre se relevait de plus en plus, l'obligeant à relever plus la tête et le champagne coula, roula sur son menton, sa gorge et des lèvres se posèrent sur sa peau, léchant les perles de champagne, s'égarant peu à peu, une langue suivit le liquide, descendant peu à peu, dessinant des arabesques qui la faisaient frissonner.

 

 

 

26 novembre 2012

Retard

Elle venait de s'installer à son bureau, sans faire de vagues, car elle était en retard. Apparemment, il n'y avait aucune réaction dans le secteur. Soulagée elle se remit à l'étude des dossiers en attente qui ne désemplissaient pas sur son bureau.
Plongée dans la lecture du dernier rapport, elle sursauta quand retentit le téléphone. Décrochant, sans lever la tête de sa lecture, elle entendit sa voix lui enjoignant de venir immédiatement dans son bureau. 
Sans attendre, elle laissa le dossier ouvert et se dirigea vers l'escalier qui menait à la direction. Elle frappa à la porte et attendit l'invitation à entrer. Au lieu de cela, la porte s'ouvrit et il se tenait devant elle. Il lui fit signe d'entrer. 

Le bureau, qu'elle ne connaissait pas, étant nouvelle dans la société, ce bureau était spacieux, de grandes fenêtres l'éclairaient. L'ameublement jouait la carte du classique et de l'élégance, quelques pièces modernes animaient le classicisme.
Il referma la porte derrière elle et lui fit signe d'avancer. Elle obtempéra, inquiète. D'une voix froide, il lui dit de s'asseoir.  Au lieu de faire le tour du bureau, il se posa face à elle, la dominant de toute sa taille.  Il la regarda en silence avant de lui rappeler que les horaires étaient fixés par lui et que la moindre des corrections étaient que le personnel les respecte. 
Confuse elle bafouilla une excuse qu'il balaya d'un geste de main tout en continuant à lui rappeler quelques règles.
Lorsqu'il eut fini, il lui demanda quelle punition elle envisageait. Interloquée, elle releva la tête, mais il était sérieux. Elle lui répondit qu'elle ne savait pas.

Impatient il haussa les épaules et continua en disant que décidemment il fallait tout lui apprendre.
Il s'approcha d'elle et la regardant dans les yeux il lui dit qu'il allait lui expliquer pour une fois en quoi pouvait consister une punition. 
Il lui ordonna de fermer les yeux. Cela fait, elle sentit qu'il lui bandait les yeux, l'empéchant de voir mais laissant libre son imagination. Savait il qu'elle avait une imagination des plus débordantes ?
Il la fit se lever et la poussa vers le bureau. Elle sentit le rebord du meuble contre ses fesses. Il continua à la pousser, l'obligeant à s'asseoir. Ne résistant pas, elle fit comme il souhaitait. Elle posa les mains derrière elle et attendit. Il posa ses mains sur le tissu de sa robe, la faisant remonter. Elle sentit la chaleur de ses doigts contre sa peau, effleurant la chair au dessus des bas. Elle réalisa qu'elle avait enfilé ce matin, une robe portefeuille noire, retenue par une ceinture.  Cette ceinture fut dénouée et les bords écartés. Elle sentit la fraicheur sur sa peau, la faisant frissonner. Frissons de peur, un peu, d'attente, d'angoisse, d'anticipation, d'excitation aussi.
Elle restait immobile, retenant sa respiration, dans l'attente de ce qu'il allait faire. , 
Il posa ses mains sur ses cuisses, remonta vers son string qu'il fit glisser avant de le laisser tomber. Cela fait, il remonta le long de son ventre avant de faire glisser ses mains pour dégrafer le soutien gorge bustier qu'il posa sur le bureau.
Ses doigts pincèrent ses seins, les étirant un peu et comme elle allait gémir, il posa un doigt sur ses lèvres en signe de silence. Elle retint son souffle, le laissant alors caresser, pincer, titiller ses seins, faisant ainsi gonfler ses bouts, les rendant si sensibles. Tout à ces caresses, elle ne résistait pas, écartant les cuisses sans même sans rendre compte, impudique et indécente.
Un bruit de fermeture éclair l'alerta et deux mains l'attrapèrent par les fesses, la tirant vers le bord du bureau tandis que d'un coup puissant il l'envahit, la pilonnant fortement. Elle s'écartelait pour le prendre totalement et elle retenait ses gémissements alors qu'elle sentait le plaisir l'envahir rapidement. Il la prenait sans un mot, ne s'intéressant qu'à l'investir, la marquer, la posséder. Elle se renversa sur le bureau, tout au plaisir qui montait violemment en elle, la faisant mouiller comme une fontaine, comme elle n'avait jamais mouillé auparavant. Il la prenait maintenant par grands coups de butoir. Elle sentait la jouissance de l'homme si proche et pourtant il se retenait, ne voulant pas lui donner la satisfaction de le faire craquer. Il se retira brusquement la laissant ouverte et abandonnée et il la retourna, faisant saillir son cul et lui écartant les cuisses, il lui ouvrit les fesses et planta sa queue trempée de sa mouille, sans hésitation ni ménagement. Elle se mordit les lèvres au sang pendant qu'il disait qu'elle mouillait comme une salope et que son cul était aussi accueillant que sa chatte. Il la lima, poussant son sexe au fond de son ventre, l'empalant en lui disant qu'elle avait un cul divin, fait pour être baisé. Elle sentait qu'il bandait encore plus fort et plus dur, aimant par dessus tout sodomiser et posséder une femme de cette façon, la rendant totalement sienne et chienne aussi. Alors qu'elle sentait une nouvelle fois la jouissance l'envahir, il l'attrapa par les seins, et gicla, à grands coups, l'inondant de son sperme. Elle était maintenant couchée à plat ventre sur le bureau, épuisée, trempée, et sans énergie, attendant, elle ne savait quoi, mais savourant ces instants....

5 février 2012

Ecriture 4

Le temps passait, sans bruit, elle n'osait plus tenter un seul mouvement, ne sachant si elle devait se réjouir de l'absence de présence ou s'en inquiéter. Ses poignets devenaient de plus en plus douloureux, le sang ne circulait plus dans ses doigts. Le froid insidieux l'emplissait totalement. Elle était fatiguée, ses paupières se faisaient lourdes, mais elle ne pouvait sombrer dans le sommeil, ses entraves la rappelaient à l'ordre.

Un courant d'air lui fit deviner un mouvement dans la pièce. Une porte claqua, libérant un fond musical, musique classique, wagnérienne, il lui semblait. Cela ne la rassura pas, lui laissant présager une certaine folie, grandiose, mais folie quand même.

Des pas claquèrent vers elle. Elle se raidit, anxieuse, toujours aveugle et n'osant demander d'être débarassée de ce bandeau, de peur d'une sanction.

Un frolement sur sa peau, remontant de ses cuisses vers son ventre lentement, la fit sursauter. Quelqu'un était devant elle, insistant sur le creux tendre de la chair de ses cuisses, glissant jusqu'à son intimité.
Après le sursaut, elle retint un cri, le frolement devenait feu dévorant, ravageant sa chair et la faisant tirer sur ses liens dans une vaine tentative pour se dégager et s'enfuir. Elle se sentait en feu.
Une voix lui murmura qu'elle était punie là ou elle avait fauté. A vouloir batifoler on se brulait parfois. Elle hoquetait, essayant d'endiguer cette envie furieuse de s'arracher la peau et cela lui rappela brusquement son enfance, quand elle courait dans les prés, ne s'apercevant que trop tard que l'herbe était envahie d'orties.

12 octobre 2011

Ecriture 3

Entendre ces bruits autour d'elle, ces murmures la stressait. Elle se disait que l'après midi avait été trop agréable et qu'elle allait payer pour cela. Une secousse sur les liens qui retenaient ses poignets, une porte claqua et le silence s'installa.

Elle ne savait pas si elle était seule ou si quelqu'un était resté avec elle. Elle bougea  un peu mais se rendit compte que sa liberté de mouvement avait été entravée. On avait mis une longe aux bracelets qui maintenaient ses bras dans le dos. Il ne lui restait qu'à attendre et espérer que cette plaisanterie douteuse allait cesser bien vite.

 

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Elle essaya de s'asseoir mais elle s'aperçut que cela était impossible, l'attache était trop courte. Elle tenta un mouvement sur le coté, juste pour vérifier s'il y avait quelqu'un d'autre dans la pièce. Son mouvement fut vite stoppé par un coup de badine sur les cuisses. Aucun mot ne fut prononcé, mais elle comprit qu'elle avait intérêt à rester tranquille.

Le froid qui régnait dans la pièce la faisait frissonner. D'ailleurs, une paume chaude effleura ses tétons, les faisant réagir et rechercher cette chaleur. Cette paume cueilla un sein, le prenant comme on prend une pomme et le serra doucement, puis de plus en plus fortement jusqu'à le comprimer tellement que la douleur ressentie la fit essayer de se dégager. Chose stupide qu'elle regretta aussitot, en recevant un coup de babine sur le bas du dos.

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12 octobre 2011

Ecriture 2

Dans sa tête, les images défilaient, et elle refaisait l'histoire à son idée. 
Déjà, il lui apparaissait évident qu'elle n'aurait jamais rédigé ce texte à la première personne, cela ne correspondait pas à sa façon d'être. 
Il lui fallait se détacher des personnages, prendre un certain recul. 
Donc si elle avait à réécrire l'histoire, le je deviendrait elle. 
D'autre part, si le début pouvait être identique, la suite de l'histoire varierait probablement. Elle acceptait d'être une salope, pour lui, mais elle ne pensait pas qu'elle pourrait accepter réellement d'être partagée ainsi. Assurément dans un récit, tout était possible,  c'est même ce qu'il y a de merveilleux avec l'écrit. Elle l'avait d'ailleurs déjà prouvé dans d'autres textes. 
Mais si le jeu consistait aujourd'hui à continuer l'écriture de ce récit, elle allait lui donner ce plaisir. Il la voulait chienne, elle allait s'appliquer à cela, en espérant qu'il serait satisfait. Mais imaginer une suite à ce récit ou les partenaires semblaient se séparer, cela impliquait un total changement de contexte. 
Elle était perplexe sur la suite qu'elle pouvait lui offrir.



Elle s'installa en voiture et démarra, pendant qu'il la regardait. Elle lui adressa un dernier signe de la main puis sortit du parking. Elle essayait de retrouver son calme avant de rentrer chez elle. L'obscurité commençait à s'installer quand elle arriva devant le portail du garage de son immeuble. Elle déclencha l'ouverture et sa voiture  glissa vers le sous sol. Elle se gara, rassembla ses affaires, fourra son slip dans son sac et claqua sa portière. Elle se dirigeait vers la porte qui menait à l'ascenseur quand elle entendit une portière claquer et des pas résonner derrière elle. Elle se retourna mais ne réussit pas à voir s'il s'agissait d'un voisin.

Alors qu'elle ouvrait la porte, elle se sentit tirée en arrière pendant qu'on lui mettait quelque chose sur la tête, l'empêchant ainsi de voir ou de crier. Elle essaya bien de se dégager, mais rien à faire. Elle entendit une voiture arriver et s'arrêter à leur hauteur. On la poussa sur la banquette arrière et on claqua la portière. Il y avait une personne à côté d'elle, qui continuait à la maintenir, l'empêchant de se relever. Comme elle ne se tenait pas suffisamment tranquille, on lui asséna une gifle à travers le tissu, lui amenant les larmes aux yeux.
Elle commençait à avoir réellement peur maintenant....

Une main remonta sa jupe, découvrant sa nudité et la laissant ainsi. Tête couverte et cul nu, à la vue de tous. 
La honte la submergeait et elle sentait la colère prendre le pas sur la peur.  Elle remua, essayant de faire glisser sa jupe, mais son ravisseur la bloqua et lui claqua les fesses en lui intimant de se tenir tranquille. Elle eut conscience qu'elle connaissait cette voix, sans pour autant mettre un nom et un visage à son propriétaire. 

Le véhicule s'arrêta et on coupa le moteur. Rapidement on la releva et on l'attrapa pour la diriger. Ses talons rendait sa marche malhabile sur le gravier d'une allée et s'ils ne l'avaient pas retenue elle serait surement tombée. Ils l'aidèrent à monter une volée de marches et ils entrèrent dans ce qu'elle supposait être un hall. Là, ces deux accompagnateurs dirent à une troisième personne que la mission avait été accomplie sans anicroche. 

Une main l'attrapa pour la tirer et la guider vers une autre pièce. 
Elle avait toujours le visage couvert et commençait à étouffer un peu. On s'affaira à ouvrir sa jupe qui glissa le long de ses jambes et on la débarrassa de son chemisier, la laissant en bas et redresse seins. Ses mains étaient toujours liées dans son dos et elle ne pouvait retirer cette cagoule qui l'étouffait et l'aveuglait. Mais elle avait conscience que ses ravisseurs n'avaient pas l'intention dans l'immédiat de la débarrasser de cela. Au contraire, quelqu'un passa derrière elle, la frôlant et passant ses mains autour de son visage, posa un foulard, la bâillonnant.  Elle comprit que cela participait au jeu de la laisser aveugle, muette mais dénudée et exhibée.

Elle ne disposait plus que de deux sens, le toucher et l'ouïe.  Elle entendait que l'on bougeait des objets, meubles ou fauteuils elle ne savait trop.

 

 

31 mai 2011

Fantasme bureau

Lors d'un précédent mail, il lui avait demandé d'imaginer une histoire mettant en scène sa collègue de travail qui était selon les moments soit exhibitioniste soit un peu chochotte, du genre de celle qui glousse en tournant les yeux dans tous les sens si un propos lui semble un peu leste !!

Elle décida en premier lieu de trouver une image présentant une femme bien en chair. Celle qu'elle finit par dénicher lui convenait par le style, mais était quelque peu éloigné du look de sa collègue. Un peu trop sexy, bonbon enrobé, fondant sous la langue ! C'est vrai qu'il fallait vraiment faire preuve d'imagination si on voulait voir cette collègue dans cette pulpeuse jeune femme ! mais après tout, tant qu'à faire, elle allait garder la plus pulpeuse des deux !!

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Cette histoire se passe un vendredi matin, lorsque le secrétariat est fermé au public et ou la secrétaire est seule au travail.
Ce matin là, elle était habillée en noir. Une jupe moulante en cuir noir qui enserrait ses fesses bien en chair, un chemisier en voile noir, très échancré qui offrait le vallon de ses seins aux regards d'éventuels usagers. On voyait en transparence un bustier corset rouge franc qui ne cachait pas grand chose de sa poitrine volumineuse. Tout en elle était en excès.
Elle était assise au bureau quand il arriva. Il avait donc une vue des plus dégagées sur sa poitrine. Elle se leva, lui permettant de voir son cul moulé par le cuir de la jupe. Elle se tourna vers le placard et se pencha pour attraper un dossier, tendant ses fesses à l'extrème. Elle se tortilla, semblant avoir des difficultés pour extirper le dossier. Il sourit en se disant qu'elle devait être aussi difficile à extirper de sa jupe que le dossier de l'étagère surchargée !
Elle minauda pour lui demander s'il allait faire du café, car elle en prendrait bien un, elle avait si soif et si chaud.
Sans ajouter un mot, il alla à la cuisine enclencher la cafetière quand il sentit qu'elle entrait dans le local exigu. Elle se colla à lui, sous prétexte de passer au fond du local pour attraper les tasses à café, qu'elle n'arriva pas à attraper bien sur !! Il se retenait de rire, mais il la regardait faire en se demandant ce qu'elle avait en tête. Pour l'aider, il vint derrière elle et tendit le bras pour attraper les deux tasses. Elle ne changea pas de place, l'obligeant à se coller à elle. Elle se frotta à lui, déclenchant une réaction automatique, même si elle n'était pas du genre à le faire bander.

 

 


Elle se retourna vers lui, collant ses seins sur son torse. Il s'écarta un peu et il lui sembla voir la déception envahir son visage. Elle attrapa les tasses à café et les apporta sur le bureau. Il s'assit en face d'elle, l'écoutant pérorer sur le dernier dossier en cours, toujours aussi brouillon. Elle avait un don inné pour dire tout et son contraire dans la même phrase. Un vrai casse tête pour arriver à saisir la réalité, d'autant qu'elle jouait avec la chaine qui pendait entre ses seins. Il finissait par être hypnotisé par ce mouvement lorsque d'un geste négligent elle défit un bouton de son chemisier, dégageant totalement ainsi son décolleté.
C'était plus fort que lui, il sentait qu'une envie irrépressible de malaxer cette chair pâle le prenait. Elle ne l'attirait pas, mais l'envie était plus forte que cela. D'ailleurs, il préférait ignorer la réaction de sa queue qui tendait fortement son jean. Alors qu'elle reposait sa tasse à café vide, toujours aussi maladroite elle la renversa, le tachant. Confuse elle se leva et avant qu'il ait eu le temps de faire un mouvement elle avait un mouchoir à la main et l'essuyait. Seulement elle ne pouvait feindre d'ignorer la bosse déformant le jean et sans se démonter sa main remonta et se posa sur cette bosse. Sans le regarder, elle ouvrit la braguette et sortit la queue qui ne demandait que cela ! Elle la prit en main, et la promena sur ses seins débordant du bustier. Il ne résista pas, et attrapa ces mamelles, les tira, les malaxa et enserra sa queue . Il lui ordonna de le branler entre ses seins et de s'appliquer, car il mourait d'envie de voir son foutre jaillir sur cette chair, l'inonder. 
Elle ne répondit pas, et fit exactement ce qu'il lui demandait. 
C'était divin. Il voyait sa queue tendue, coincée entre ses seins et elle qui s'appliquait à le branler, le faisant grossir et gémir de plus en plus. Sous des dehors un peu génisse, elle était douée et semblait aimer cela. D'ailleurs, il vit qu'elle glissait sa main sous sa jupe qui était remontée et elle se doigtait à l'extrème.......
Dieu qu'elle semblait bonne, grosse salope assuremment mais elle aimait le cul ca se voyait maintenant.  Par moment elle prenait sa queue dans sa bouche, le pompant avant de le reprendre entre ses seins. Il sentait qu'il allait exploser et il voulait lui cracher son jus au visage, une furieuse envie de voir son sperme couler sur sa face, la rabaissant à une machine à foutre.
 Il était de plus en plus excité, d'autant qu'il savait qu'elle avait refermé la porte du bureau et qu'ils étaient tranquilles.
Lorsqu'il sentit qu'il ne pouvait plus tenir, il la repoussa et tendit sa queue vers elle, lui tenant le visage il gicla en longs jets sur son visage.
Il ne débandait pas, elle l'avait trop excité, sa queue restait tendue et ne résistant pas il la releva, la tourna, remontant sa jupe à sa taille il la plaqua sur le bureau, écartant le string rouge il plongea sa queue dans sa chatte béante et mouillée.  Avec de grands coups il la baisa, la faisant gémir  car en plus il avait totalement dégagé ses seins du bustier, les faisant pendre afin de pouvoir les attraper et les pincer durement.  Sous ses coups elle tendait sa croupe, gémissant qu'elle révait de cela depuis longtemps, se faire baiser ainsi, comme une chienne, au bureau. Sa queue allait et venait dans cette chatte chaude et brulante, béante, si béante qu'il décida de la sodomiser afin de trouver un étui moins détendu. Sans ménagement il sortit de sa vulve pour plonger d'un coup entre ses fesses, en la faisant hurler. Là, c'était divin, elle était serrée, novice en tout cas. Il la défonçait allègrement sans plus tenir compte des gémissements qu'elle poussait. Au contraire, elle ne faisait qu'augmenter son plaisir et dans un dernier élan il se vida en elle avant de se retirer.
Elle restait étalée sur le bureau, fesses à l'air, jaillissant du corset, le sperme coulant le long des cuisses et des bas noirs qui comprimaient ses jambes.
Il n'avait pas envie d'en rester là, elle l'avait chauffé et il voulait qu'elle s'en souvienne.
Il l'obligea à s'agenouiller et lui dit de faire sa toilette. Elle tenta de se relever en disant qu'elle allait chercher un linge, mais il la retint et lui dit qu'il voulait une toilette avec sa bouche et sa langue. Elle secoua la tête semblant refuser, alors il l'attrapa par les cheveux et forca sa bouche, l'étouffant totalement. Elle n'eut d'autre choix que de lécher et sucer cette queue qui avait été dans une partie d'elle qu'elle avait en horreur. Cela le mit en joie de la voir faire la grimace et retenir les hauts le coeur.
Lorsqu'il estima qu'elle avait fini il la repoussa, se rhabilla et sans lui laisser le temps de se rhabiller il lui demanda ou en était le dossier d'urbanisme sur le projet de restaurant.... 
 

21 avril 2011

Ecriture

Ce matin là, lorsqu'elle ouvrit sa messagerie, elle vit qu'il lui avait envoyé un message. Cela faisait quelque temps qu'il ne donnait plus signe de vie et elle se demandait ce qu'elle allait découvrir.

Quelques mots accompagnaient ce texte. Il lui demandait si ce texte l'inspirait et si cela était le cas, d'imaginer une suite.
Elle referma le message et attendit l'après diner pour le rouvrir et se mettre à lire ce récit qu'il lui avait adressé.


 

SOUMISE:

Quelle folle je suis d’avoir accepté ce plan !
J'ai l'air malin dans cette chambre d'un hôtel de luxe de banlieue, à quatre pattes sur le lit, les yeux bandés, nue avec mes bas et mon rehausse-seins !

Je ne le connais pas, je ne l'ai jamais vu. Juste quelques échanges sur Internet et le désir de me faire à nouveau dominer.
La photo de son profil était d'un clair obscur magnifique qui m'a séduite, ses propos lors de nos échanges montraient un bon niveau culturel...
et me voici attendant qu'il entre ne sachant pas à quelle sauce je vais être dégustée.
Dans l'après midi, il a pris soin de m'envoyer par sms le lieu exact du rendez vous en me rappelant les consignes à suivre. Je suis arrivée à l'heure dans cette chambre bien chauffée.
Sa veste suspendue au dossier d'une chaise était le seul élément attestant sa présence.
Le masque placé en évidence sur la table m'indiquait que je ne m'étais pas trompée d'histoire.
Le temps semble long à attendre ainsi. Il a précisé qu'il voulait me voir cambrée, mais je me relâche un peu.
Oups, on clenche : je reprends vite la posture. Je suis aux aguets pour tenter de percevoir ses mouvements.
Visiblement, il s'attarde à me regarder.
Quel tableau que celui de cette inconnue offerte dans une position sans équivoque ! Je guette le moindre souffle qui me permettrait de le situer, il est discret le bougre !
Tout à coup, il est là. Près de mon visage. Il passe la main sur ma joue et dans le même mouvement pénètre ma bouche avec un doigt, sort, entre fouille chaque interstice.
Ma langue le caresse et je sens un premier éclair traverser mon bas ventre. Premier interrupteur actionné, je peux me laisser aller.
Il attrape mon menton, oriente mon visage sans doute pour mieux m'observer, me dominer aussi. Je suis docile, me laisse manipuler sans résister.
Il passe derrière moi et inspecte de la même façon mes orifices, caressant l'entrejambe, ponctuant ses gestes de souffles approbateurs. Visiblement la bête lui plait ! Il me flatte doucement, je frémis.
Il m'enfonce un doigt et après quelques va-et-vient en profondeur, commence une caresse plus technique. Je n'en crois pas mes yeux (enfin si j'ose m'exprimer ainsi parce qu'ils sont bandés) il va d'emblée me faire jouir ! je connais bien cette sensation produite par les doigts experts, impossible d'y résister ! je sens l'excitation monter en moi, mon ventre se contracte et le liquide chaud couvre sa main.
Il réitère le geste à plusieurs reprises et à chaque fois, le résultat est là. Je jouis de ses doigts de manière incroyable ! le liquide coule maintenant le long de mes bas.
C'est la première fois qu'un homme déclenche ma fontaine dans cette position me faisant découvrir de nouvelles sensations.
Maintenant que j'ai bien joui, il passe de nouveau devant moi et plante sa queue dans ma bouche. Étonnante sensation que celle de découvrir un homme de l'intérieur... sans le voir.
Tracer les contours de cet organe à partir du volume remplissant la bouche, de la douceur du gland, de sa rigidité mouvante.
Je l'enfile profondément, allant presque jusqu'à atteindre son pubis de mes lèvres. Il m'encourage par ses commentaires on ne peut plus explicites.
-Tu es une vraie salope ! Comme tu suces bien ! Oui ! Oh oui !

Il reçoit chacun de mes haut de cœur permettant de l'avaler un peu plus comme un cadeau qui l'émerveille à chaque fois. Cela ajoute à mon plaisir et m'incite à aller plus loin.
Je poursuis ma caresse pendant qu'il passe sous moi et place son visage entre mes cuisses. Sa langue me fait de nouveau frémir. Il reprend sa manœuvre manuelle. Mon excitation est à son comble.

Une fois de plus, je jouis et il pousse un cri d'extase lorsque j'inonde son visage. Il s'extirpe et s'éloigne. Je reste immobile, ouverte, savourant ces sensations, guettant ses mouvements. Il se déshabille et me prend en levrette. D'un coup. Profondément. Puis va et vient, à grands coups de boutoirs m'arrachant des cris de plaisir. Je vibre, frissonne, me cabre, me roule.
Cambrée !
Il joint le geste à la parole en plaçant une main ferme sur mon dos. Difficile de rester ainsi dans la jouissance ! Je fais un effort, mais très vite, mon corps se trémousse de nouveau. Je tremble de tous mes membres. Il me retourne sur le dos et m'accorde la pause que je sollicite
.
Je remonte tranquillement sur le lit et me détends progressivement, reprends souffle et esprit.
Il s'allonge à côté de moi et caresse délicatement ma poitrine.
Petit à petit, ma main cherche et trouve son sexe. Il descend la sienne vers le mien.
Douces caresses en miroir.
Le plat de ma main sculpte son gland délicatement et puis mes doigts malaxent son prépuce, chatouillant le gland qui se love à l'intérieur.
C'est à son tour de frémir maintenant. Ma deuxième main descend vers mon pubis.
Il me laisse le soin de me masturber pour s'occuper de ma rose qu'il excite à merveille. Nos doigts se rejoignent entre chatte et côlon.
Il se lève et retourne entre mes jambes. Je suis toujours sur le dos. Cette fois, pas de pénétration de son chef.
Il se place à l'entrée de ma rose et m'invite :
- C'est toi qui me prends !
Doucement, sans à coup, je fais entrer cette queue jusqu'à la garde dans mon anus.
J'en perçois tout le volume dans les moindres détails. Il commence ses va et vient avec délectation. Je reprends ma masturbation. Mon corps est parcouru de frissons.
De l'intérieur de mon vagin, je caresse son gland de l'autre côté de la cloison. Je palpe sa queue en moi.
- Tu sens ? je te branle de l'intérieur !
Nous vibrons.
- Que tu es belle quand tu jouis !

Nous faisons durer cette voluptueuse sodomie. Il me place sur le côté, jambe repliée... Les sensations évoluent, les caresses aussi. Quel plaisir !
- Mets toi à quatre pattes

Sans nous détacher, nous changeons de position et de rythme aussi. Il intensifie les allées et venues. Je suis complètement étourdie, je transpire. Mon corps est envahi de spasmes, je sens les contractions de tout mon bas ventre. J'ai l'impression que cette fois, c'est mon derrière qui jouit, qui mouille, qui coule.... tout autant que ma chatte. Tout mon corps n'est que vibrations et plaisirs infinis.
Dans un râle, je m'affale, épuisée de tant de plaisirs enchainés.
Je reste là, immobile, à plat ventre.

Il me rejoint sur le lit. Je me redresse pour le prendre en bouche. Sa queue est ferme, douce. Je prends mon temps  dans ma caresse, de légère je l'intensifie progressivement pour l'avaler complètement dans une gorge profonde que visiblement il apprécie. Je lui présente mon visage, bouche grande ouverte. Il y jouit abondamment. 
Il clôt tendrement ce moment  par un doux baiser.
Je m'allonge sur le dos, détendue souriante. Il prend ma main et la place sur mon ventre.

- Pour garder un peu de magie, reste comme ça le temps que je me rafraichisse et on se retrouve dans le hall.

Je ne bouge pas. Je l'entends prendre sa douche, se rhabiller et sortir.

Une fois seule, je me lève à mon tour. Mes jambes flageolent. Je suis toute ébouriffée ! je me détends sous le jet bien chaud, réajuste ma coiffure en trois petits tours de main, un trait de rouge à lèvres et me voici de nouveau fraiche et pimpante. Il vient vers moi lorsque je traverse le hall et me prend par la taille.
- Bonsoir mademoiselle, tout va bien ?

Je lui souris et me love dans ses bras.
Je ne sais pas si je l'aurais reconnu en le croisant dans la rue. Je l'avais imaginé autrement, mais c'est un bel homme que j'accompagne diner en ville. Je prends un malin plaisir à monter l'escalier devant lui pour qu'il profite de la vue des jambes juchées sur les talons et des bas sous la jupe. Il n'est pas dupe et savoure !

De retour à l'hôtel nous devons nous séparer. Je travaille demain matin, il faut être raisonnable !
Il me raccompagne à la voiture et m'enlace avant que je ne puisse y entrer.
De nouveau, il me doigte habilement, déclenchant automatiquement la fontaine ! je me blottis contre son épaule et lui susurre à l'oreille.

- Et c'est reparti... Mais c'est mécanique !
- Oui, mais cela ne fonctionne pas chez tout le monde.
- Humm, comment veux tu que je m'en aille, tu me fais trop jouir  !

Je sens alors une troisième main caresser mon épaule.

- Tiens, nous avons de la visite !

Notre invité nous propose d'aller dans le petit bois derrière pour être tranquille.
- Mais il est plein de ronces, je l'ai vu en me garant !
- Il y a un chemin et un espace plus discret, suivez moi !

Nous lui emboitons le pas et nous installons près d'un arbre dans une petite clairière faiblement éclairé. L'inconnu me souffle :
- Attends, il  y a quelqu'un. Je vais lui demander de partir. Il n'est pas long à venir se placer dans mon dos pour me caresser fesses et poitrine pendant que mon chevalier m'étreint et de sa main continue de me faire couler à volonté.

- Quelles jolies fesses ! et quels seins !
- Attendez, ce sera mieux comme ça.

D'un geste, je descend mon bustier laissant apparaitre ma poitrine d'une blancheur impressionnante dans ce rayon de lune. Je savoure le regard gourmand de mes acolytes.
Ils n'en croient pas leurs yeux et se placent tous les deux face à moi, bandant comme des cerfs.
Je me baisse et prends leurs deux sexes dans la bouche, ma langue passe de l'un à l'autre.
Mon compagnon se retire et m'enfile par derrière.
La fellation au rythme de ses coups de boutoir semble satisfaire notre voyageur qui ne tarde pas à jouir dans ma gorge, ravi de me voir l'avaler.
Je me retourne, m'accroupis et prends la queue de mon partenaire pour le sucer à son tour. Derrière moi, l'autre caresse mes seins d'une main, la seconde, reprenant la manœuvre pour me faire couler. Quel pied !

Au moment de nous séparer, je remonte mon slip et horreur, il est complètement trempé. A tordre !

- Je ne peux pas rentrer ainsi, dès que je vais m'asseoir dans la voiture cela va laisser des traces sur ma jupe !

Je fais un rapide calcul et sous leurs yeux éberlués, d'un geste, fais glisser  l'étoffe détrempée le long de mes jambes et l'enfouis dans mon sac à main.

- C'est plus simple ainsi !

Nous regagnons la voiture en prenant garde à ne pas nous accrocher dans les ronces. Notre visiteur nous remercie avant de rejoindre la sienne.

- Je faisais juste une pause au milieu de mon voyage... Je n'ai pas de regret !

Mon compagnon m'embrasse.

- Alors toi, sur ce coup-là, tu m'as bluffé !

Je ne sais pas trop ce qu'il a voulu dire. En quoi ai-je pu bluffer un tel baroudeur qui n'en est visiblement pas à sa première rencontre ? 

Lecture finie, elle repoussa son portable et ses pensées l'emportèrent dans l'imaginaire de ce récit. Bien que ne correspondant pas tout à fait à ce qu'elle aurait pu écrire, elle devait reconnaitre que l'effet d'excitation voulu fonctionnait.

 



 

31 mars 2011

Marine

Elle se pressait, énervée d'être en retard. Le soleil brillait déjà depuis un moment dans le ciel, chauffant l'air et lui donnant d'autant plus envie d'arriver à l'embarcadère.
Elle avait réservé un bateau qui devait l'emmener dans une crique connue de peu de monde et elle savait qu'à cette période de l'année, elle serait déserte.
Elle jeta son sac et enjamba le bord . Sa robe déjà courte remonta un peu plus, laissant espérer aux badauds qui trainaient sur le bord qu'elle leur en laisserait entrapercevoir un peu plus.
Pressée, elle fit signe au jeune chargé de l'embarcadère qui détacha les amarres pendant qu'elle démarrait le moteur. Elle manœuvra pour s'éloigner du bord et mit les gaz en direction du large.
Dès qu'elle eut franchi la passe, elle prit la direction de la crique, plein sud. Il lui fallait environ une demi heure pour atteindre le point de rendez vous. Elle accéléra encore un peu l'allure afin de réduire son retard, pressée qu'elle était d'y être déjà.

Les_Calanques_III_by_fesleylerguson

Elle arriva à la pointe qu'elle contourna avant de filer vers la crique en réduisant la vitesse. Un voilier avait déjà jeté l'ancre. Elle s'approcha et jeta l'ancre au plus près du bord.

sortie_en_mer_voilier

L'eau était claire, limpide. La plage était déserte, personne ne pouvant y accéder par la terre.
Elle se déshabilla et se laissa glisser dans l'eau.

in_water_by_illicitDreamer

 

Nude_diver_by_Epistimon

Elle nagea doucement vers le voilier et prit pied sur la plate forme arrière.

Wet_nude__by_fotoguy53

Il l'attendait, vêtu de blanc, pantalon et chemise en lin. Elle arrivait nue devant lui, ruisselante d'eau...

Il se leva et l'enlaça pour l'accueillir. Elle sentait contre sa peau la chaleur du tissu chauffé par le soleil.

Elle savait qu'elle abimait ses vêtements, mais ne s'en souciait pas, plus intéressée par l'idée de le mettre dans la même situation qu'elle, parce qu'elle savait très bien, qu'il aimait autant qu'elle sentir le soleil, l'air sur sa peau.

L'attendre habillé, avait été pour lui, juste une façon de l'embêter, de l'obliger à agir, car il avait bien l'intention qu'elle prenne l'initiative de le dévêtir.

Allait il craquer le premier ou allait elle pour une fois être celle qui osait quelque chose ?

Elle s'écarta de lui, semblant hésiter, puis elle lui demanda s'il pouvait lui servir quelque chose de frais.  Il alla vers la cabine et lui servit un grand verre d'eau fraiche. Pendant ce temps elle s'était allongée, s'exhibant volontairement pour l'obliger à céder.

Yacht_by_GothPhoto

Mais semblant faire fi de cela, il lui apporta son verre et s'assit en face d'elle, commençant à parler de choses si insignifiantes qu'elle avait conscience qu'il se moquait d'elle !

Elle décida de céder, parce qu'elle avait envie de le voir, de le sentir nu à côté d'elle, même si cette situation était assez excitante. Elle avait trop envie de craquer.... Négligemment son pied se posa sur sa cheville et elle remonta lentement le long de sa jambe, froissant le tissu, pour se poser sur son entrejambe.

Ce mouvement lui avait fait ouvrir les cuisses, offrant au soleil,  au regard de l'homme son sexe, écartant légèrement ses lèvres. Elle ressentait la chaleur sur sa chair tendre, c'était une sensation très agréable, qui lui donnait l'envie de s'offrir plus encore à cette caresse.

Son pied, doucement, caressait le sexe de son amant, elle le sentait durcir encore, tendre le tissu, battre contre le creux de son pied. Il posa une main dessus, l'empêchant de faire un mouvement et elle continuait à sentir le désir battre contre son pied.

Elle retira son pied, malgré lui, et se redressa pour se mettre à genou devant lui. Elle entreprit de défaire les boutons de sa chemise et posa ses lèvres dans son cou, le frôlant, l'embrassant, descendant vers les tétons pour les lécher, les sucer, les mordiller pendant que ses mains continuaient leur lente caresse vers le ventre. Ses doigts délièrent le cordon qui retenait le pantalon pour le faire glisser sur ses hanches et elle s'écarta pour finir de le débarrasser de ce qui les gênait tous les deux. Ils étaient enfin à égalité, offerts au soleil et à l'air.

Elle se rapprocha de lui et recommença à l'embrasser et à le caresser. Elle lui tendit un foulard et lui demanda de lui bander les yeux.

Ice_Hotel_by_yurekliphotography


Elle le repoussa pour qu'il s'allonge sur les coussins jetés sur le pont et elle l'enjamba. Ses lèvres continuaient leur lente caresse, sa langue jouait avec lui, descendant peu à peu, si lentement qu'elle sentait l'impatience qui le gagnait. Mais elle avait envie que ces instants, perdus dans cette crique, loin de tout et de tous, soient nouveaux, magiques. Ses seins étaient sur son sexe, jouant avec sa dureté et elle gémit de plaisir quand il les attrapa pour emprisonner sa queue entre eux. Il serrait si fort qu'elle en avait mal, mais elle aimait sentir cette "barre" contre sa poitrine, butant sous son menton. Il relâcha un peu la pression et elle entreprit un lent mouvement de va et vient, le branlant ainsi, ses mains la tenant toujours. Elle ne résista pas au désir de glisser ses doigts vers son sexe qui mouillait intensément. Elle  se caressait tout en continuant à le branler avec ses seins. Il lui demanda de glisser plusieurs doigts dans sa chatte pour l'ouvrir totalement. Il lui dit qu'il la voulait totalement offerte, chaude. Elle se releva un peu, souhaitant prendre ce sexe si tendu entre ses lèvres, ce qu'il la laissa faire..........

 

charles128

 

25 mars 2011

Soins 9

Il se désunirent et elle se laissa tomber à genoux, épuisée, le sperme coulant d'elle, elle reprenait son souffle. Elle glissa sa main entre ses cuisses et elle recueillit un peu de cette semence qu'elle porta à ses lèvres, elle ferma les yeux et sentit l'odeur de la jouissance avant de la gouter et de la déguster.
Il la regardait faire, aimant son côté animal. Il se rapprocha et posa ses doigts sur sa joue pour qu'elle le regarde, ce qu'elle fit. Un sourire naquit sur ses lèvres et elle se mit à lécher ce sexe  à demi endormi devant elle, faisant sa toilette comme un chat pourrait la faire. Il se laissait faire, appuyé contre le mur....

Il la releva, reprenant l'initiative et il remonta une volée de marches pour gagner le palier supérieur.  Les portes bordeaux se détachaient sur le gris des murs. Il ouvrit la porte à gauche du palier. Il connaissait les lieux c'était indéniable . Il bascula l'interrupteur et la lumière jaillit de quelques lampes disséminées. Peu de meubles, un grand lit, une méridienne. Les murs étaient pour la plupart recouverts de miroirs. Il referma la porte sur eux et les bruits de la fête disparurent.  Il posa les affaires qu'il avait ramassé dans l'escalier et il lui la tira vers la salle de bains.
Il fit couler l'eau dans la baignoire. Elle finit de se déshabiller et entra dans l'eau chaude. Elle s'allongea, s'étirant, laissant la chaleur détendre sa chair. Il s'était dévêtu et prit place dans la baignoire avec elle. Il y avait assez de place pour eux deux......

Placé en face d'elle il la regardait. Il attendait, curieux de voir ce qu'elle allait faire, puisque ce soir elle avait l'air de prendre de l'assurance, de vouloir guider leurs jeux.

Shower_2_by_arieneforeveryoung

Elle semblait ne plus se soucier de lui. Ce temps de pause offert lui était intensément plaisant. Les yeux fermés, elle sentait les senteurs des huiles qu'il avait versé dans l'eau, du Chanel, pas n° 5, mais Coco Mademoiselle, comme son parfum. Elle passa ses mains sur son ventre, caressant la douceur de sa peau exacerbée par le bain, prenant ses seins dans ses mains, ses doigts frôlant ses pointes, les pinçant, les tirant, rêvant d'un scénario ou il s'amuserait à l'attacher, à demi suspendue, la pointe des seins totalement étirée, étranglée par le lien.

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Puis sa main glissa sur son ventre, atteignant sa fente, jouant avec. Elle avait maintenant les yeux ouverts et elle le regardait. Sa caresse devenait de plus en plus précise, insistante. Ses cuisses s'ouvraient de plus en plus, autant par l'effet de la caresse que par le regard qu'il posait sur elle. Elle savait qu'elle irait jusqu'au bout de ce plaisir "solitaire", cadeau qu'elle lui faisait, elle qui s'efforçait le plus souvent de cacher son plaisir bien qu'il en soit contrarié.

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Elle prit la douche et familière du fait, elle la régla, eau brulante, et dirigea le jet brulant sur son sexe, écartant d'une main les lèvres de sa chatte pour sentir la brulure sur la peau tendre de sa vulve. Dans sa tête tournaient mille pensées, mille fantasmes qui l'accompagnaient dans la recherche et la montée de ses plaisirs solitaires. Son souffle s'accélérait, concentrée sur son plaisir, sur ce plaisir qui la saisissait, l'envahissait et la faisait haleter et gémir. 

The_Showerhead_by_Mezzanines

Elle ne s'inquiétait plus de lui mais il se chargea vite de la rappeler à l'ordre. Un main l'attrapa par les cheveux pour la maintenir et une queue s'appuya sur ses lèvres qu'elle ouvrit obligeamment la laissant l'étouffer pendant qu'il murmurait qu'elle était une vraie salope d'oser se branler ainsi devant lui, sans s'inquiéter de lui. Il poussait fort, la faisant baver et elle lâcha la douche pour poser ses mains sur ses hanches, espérant ainsi le freiner, mais elle n'était pas de force contre lui, surtout en ce moment. Il bandait terriblement, elle l'avait excité, nargué et il n'avait qu'une envie, lui rappeler qu'il était le maître et qu'il entendait qu'elle ne l'oublie pas. Alors plaquée contre le bord de la baignoire, elle le suçait, le pompait. Il était tellement excité qu'elle avait du mal à le prendre dans sa bouche, mais il n'en avait cure. Il appuyait, l'obligeant avec des hauts le cœur à le prendre, butant au fond de sa gorge.
Elle avait mal, il lui faisait mal, mais elle essayait de se faire douce, de ne pas le blesser, voulant sentir son plaisir couler, déborder.
Les mots, insultes et caresses mélangées, sortaient de sa bouche, accompagnant son sperme qui giclait puissamment. Elle s'efforçait de le boire mais malgré sa bonne volonté, il dégoulinait de ses lèvres, coulant sur son menton, goutant sur ses seins alors qu'il lui intimait de le boire mieux que cela, comme  une bonne salope saurait le faire.....

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