Soins 8

Les conversations s'éteignaient peu à peu dans la pièce, les invités semblaient hypnotisés par la scène photographiée devant eux.

Elle était contre lui, sa main se posant sur lui, elle remonta le long de sa cuisse, curieuse de vérifier si son état répondait au sien. Pour une fois elle eut envie de ne pas attendre un signe de sa part, elle se leva, le regarda et se dirigea vers la porte. Elle s'obligea à ne pas se retourner pour voir s'il la suivait. Elle ouvrit la porte et sortit. Sans attendre, elle alla vers l'escalier et commença à le gravir. Elle entendit des pas derrière elle.

Elle continua à monter l'escalier. Ses mains commencèrent à déboutonner son chemiser qu'elle défit lentement, le laissant tomber dans les marches. Ensuite elle défit la fermeture de sa jupe qui glissa le long de ses jambes pour s'étaler en corolle sur le marbre. Elle l'enjamba et continua sa montée. Elle ne portait plus grand chose, hormis ses escarpins, ses bas, le corset qui serrait sa taille, le string bijou et le collier qu'il lui avait fait mettre avant de quitter la lingerie. 
Elle sentait sa présence juste derrière elle, puis des mains se posèrent sur ses hanches l'obligeant à s'arrêter ce qu'elle fit sans se retourner. Il délaça le corset, la libérant de son étreinte, la laissant la peau marquée et lui claqua les fesses comme pour l'encourager à continuer son ascension, ce qu'elle fit.

Monter les marches faisait que le string bijou qu'elle portait oscillait en elle, la titillant, la faisant mouiller. Elle avait envie de serrer les cuisses pour le faire entrer plus profondément encore en elle. Elle avait envie de se sentir prise, gonflée, prisonnière et geôlière en même temps d'un sexe qui l'emplirait et la comblerait totalement.
Arrivés sur le palier, elle marqua un temps d'hésitation, prise d'un seul coup d'une anxiété d'être vue ainsi. Il s'était collé à elle, lui permettant de sentir la puissance de son excitation, de son envie de la prendre. Du genou il lui écarta les jambes et la fit se courber en avant, pendant qu'il sortait son sexe de son pantalon. L'attrapant par les cheveux, il lui releva doucement la tête et elle s'aperçut, les aperçut en reflet dans l'immense miroir qui tapissait le mur du palier. Alors sans lâcher ses cheveux, il frotta son sexe entre ses cuisses, faisant plaquer le string bijou dans sa chatte, prenant sa mouille pour s'en enduire, allant et venant, faisant ainsi bouger ce bijou frustrant et la tirant en arrière par les cheveux, força son cul profondément, glissant en elle sans retenue, l'arquant sous la douleur. Ils se regardaient baiser, reflétés par le miroir, rougis par le plaisir. D'une main il plaqua le string bijou, l'enfonçant totalement en elle pour ne laisser apparaitre que les cordons qui le retenait.  Elle se sentait totalement salope et elle aimait cela, se savoir offerte, ouverte pour lui et par lui.....