Fin d'été 5

Il s'était rapproché d'elle et elle sentit qu'il s'était déshabillé. Il passa sa main dans son cou, tirant un peu sur le collier pour lui pencher la tête en arrière, cueillant ainsi sa bouche qu'il mordit doucement, insistant jusqu'à ce qu'elle lui cède.

Il se colla à elle, son sexe dressé frôlait sa joue. Elle sentait sa tiédeur, sa douceur. Il la dominait, l'estrade étant là pour cela. La queue se posa sur ses lèvres et il poussa pour l'obliger à entrouvrir la bouche et il glissa en elle en lui tirant la tête en arrière. Il allait et venait lentement, l'utilisant, puis il força sa gorge pour aller plus profond, provoquant des hauts le cœur tellement il l'étouffait. Elle savait qu'il jouissait intensément d'abuser d'elle ainsi, l'utilisant sans tendresse, la transformant dans l'instant en un simple objet de plaisir pour lui.

Elle suffoquait, des larmes coulaient malgré le bandeau, .  Il se retira et elle sentit ses lèvres cueillir ses pleurs comme il avait recueilli le vin auparavant puis il s'éloigna en lui disant qu'elle ne devait pas faillir à ce qu'il lui avait demandé, à savoir le silence, aucun mot ne devait être dit à quelque moment que ce soit.

Revenu près d'elle, il avait à la main une badine qu'il promena lentement sur sa joue, descendant lo long de son cou, glissa entre ses seins vers son ventre, sa fente qu'il suivit puis continua le long des cuisses en la frôlant avant de relever le bras et de la cingler violemment sur la chair tendre de l'intérieur des cuisses offert par la position qu'il lui avait fait prendre en l'attachant. Malgré son désir de respect de l'ordre qu'il lui avait donné, elle ne put s'empêcher de crier et de murmurer un "s'il vous plait" dont il n'avait cure. Le coup suivant claqua plus violemment sur l'autre cuisse laissant une marque rouge.

Elle attendait, tendue, crispée, le coup suivant. Elle devinait qu'il devait légèrement sourire, attentif à l'instant ou elle se décontracterait et relâcherait sa tension. La badine continuait sa ballade sur son corps, presque caressante. Il ralentissait parfois, guettant sa réaction et le coup suivant cingla ses seins découverts et offerts. La douleur l'irradia et un gémissement sortit de ses lèvres, couvert par le coup suivant qui croisa la première marque sur la chair tendre et humide encore de vin.

Il renouvela la punition sur l'autre sein, le marquant également et la faisant se tortiller sur sa chaise pour essayer vainement et utopiquement de fuir.

La badine fouetta son ventre. Elle pleurait maintenant sans pouvoir se retenir, malgré sa peur des représailles qu'il avait en tête de lui infliger. Elle le sentit se rapprocher d'elle et à nouveau la caresse de sa queue contre son visage.

Elle savait quelle allait être la prochaine étape dans les coups et elle avait raison, la badine s'abattit sur sa fente dénudée par le string qu'elle portait. La douleur fut insupportable et elle se fit mal en essayant de refermer les cuisses. Réaction qui déclencha une volée de cinglements donnés calmement, méthodiquement.

Elle se cambrait, se tordait pour essayer d'échapper à ces coups. Cela le fit rire, mais il arrêta et il posa sa main sur sa chatte. Un éclat de rire souligna son geste car il constatait qu'elle était trempée ce qu'il lui fit remarquer ! Ses doigts glissèrent entre ses lèvres gonflées et douloureuses, s'enfonçant sans ménagement, allant et venant, l'amenant au seuil de la jouissance et la laissant ainsi, frustrée...

Elle n'osait pas lui dire son envie de lui, de son plaisir, mais il la connaissait. Il reprit sa bouche, s'enfonçant tandis qu'il enfonçait sa badine dans sa chatte, suivant le mouvement qu'il avait dans sa bouche. Elle essayait de bouger pour sentir cette badine contre son clito, voulant trouver sa jouissance qu'il contrôlait. Il ressortit la badine et la claqua à nouveau sur sa fente ouverte, la faisant hurler de douleur et en profita pour s'enfoncer au plus profond de sa gorge, planté jusqu'aux couilles, forçant, repoussant sa tête au maximum et l'empêchant ainsi de faire un seul mouvement.

La badine s'abattit à nouveau, les coups étaient à la limite du soutenable, mais il restait dans la limite de ce qu'elle pouvait supporter.

Elle sentait par la dureté et la tension de sa queue, que la jouissance était proche. Il appuyait de plus en plus, sans trop de soucier d'elle. Elle sentit qu'il posait ses mains sur son collier et il se mit à tirer, l'étouffant peu à peu pendant qu'il jaillissait dans sa gorge .

N'arrivant plus à respirer, elle perdait pied tout en sentant couler le sperme dans sa gorge, débordant de ses lèvres. Elle glissa dans le noir.