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Snejana
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1 février 2011

Bastille 3

Il se releva en souriant et en lui disant qu'il lui avait promis quelque chose et qu'il tenait toujours ses promesses et celle là en particulier.
Tout en la regardant il ouvrit son sac et en sortit une cravache. Il en promena la pointe sur ses cuisses, puis faisant remonter la tunique, il fit apparaitre le string qui ne cachait pas grand chose de sa chatte gonflée et mouillée.

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Instinctivement elle serra les jambes, espérant naïvement que cela freinerait l'envie qu'il avait de la fouetter.
Elle ne s'attira qu'un rire et un coup cinglant sur les cuisses. Il lui murmura qu'elle aurait intérêt à ne pas vouloir n'en faire qu'à sa tête car les coups n'en seraient que plus cuisants. S'il voulait la fouetter, il la fouetterait qu'elle le veuille ou non, et son souhait était qu'elle écarte les cuisses et remonte les jambes afin de lui laisser l'accès à sa chatte dont il entendait bien s'occuper.
Il rajouta qu'elle le remercierait après cela car elle y prendrait du plaisir. Cela dit, il lui asséna un coup.
Elle se dit qu'elle ne voulait pas lui donner le plaisir de l'entendre se plaindre et elle essaya de résister à la douleur cuisante qui l'envahissait peu à peu à chaque coup.  Il s'arrêta un instant pour lui dire d'enlever ce string afin qu'elle puisse mieux ressentir les effets et qu'il voulait voir sa chatte rougir.
Elle obtempéra, quitta le string et reprit la position qu'il souhaitait.  Malgré sa volonté, au bout de quelques minutes elle ne put s'empêcher de gémir, mais cela le laissait indifférent, enfin le terme d'indifférent était inapproprié car en fait, il bandait de plus en plus. Elle finit par le supplier d'arrêter, ce qu'il fit, mais pour en fait lui enfoncer le manche de la cravache dans la chatte.
Il la masturba ainsi deux ou trois coups en lui faisant constater qu'elle ruisselait vraiment et sa queue vint s'engouffrer d'un seul coup au fond de son ventre. Elle aima cette sensation totale d'envahissement.  Si son sexe avait été une bouche elle aurait été totalement étouffée tellement il était imposant.

Il était déchainé, tant physiquement que verbalement. Il la baisait durement et en la regardant il lui distilla les mots qu'il avait envie de lui infliger, blessure morale plus difficile à accepter qu'une douleur physique. Enfoncé en elle jusqu'à la garde il la bourrait exultant, mots jetés en vrac sur son humiliation.

" Tu la sens ma queue, petite pute ?" " tu viens ici, en cachette de ton mari, pour te faire baiser comme une salope".
" tu aimes cela hein ? te faire prendre par tous les trous comme une chienne ?"
" tu l'aimes ma queue ?" "
tu aimes te faire défoncer, enculer ainsi, tu en redemandes ? parce que chez toi, ton mari en est incapable. Incapable de te baiser comme une putain, une salope"

"Allez, dis le, je veux te l'entendre dire, dis moi que tu es une salope qui vient se faire baiser, se faire jouir". Dis le moi, je le veux".

A cela, elle était incapable de répondre. Les larmes de honte emplissaient ses yeux et le plus "affreux" pour elle est qu'elle sentait que son excitation rejoignait la sienne. Ce sexe gonflé d'envie, de désir, vibrait en elle et faisait monter en elle les prémices de la jouissance. Elle le sentait grossir, durcir encore, sous l'effet des mots et elle sentait que son désir n'écoutait que son ventre, oubliant l'humiliation de ce qu'il lui jetait au visage. Son ventre se cambrait pour le sentir plus encore en elle, elle se tordait sous l'effet de ce plaisir qui montait, la gagnait, partagée entre son envie de jouir et son envie de crier sa colère et son désarroi dont il jouait avec maestria.

Elle avait conscience qu'il suivait la montée de son excitation, voulant l'amener à trouver une jouissance intense en accord avec la sienne et de cela, malgré les mots qu'il lui balançait, elle lui en était reconnaissante.


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