Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Snejana
Archives
Derniers commentaires
13 novembre 2010

Vendredi 13 février - 4

Elle marchait à côté de lui. Dans l'ascenseur, il lui caressa la joue et l'embrassa tendrement. Sa langue caressant la sienne. Cette douceur inattendue après cet après midi la surprit et elle se colla à lui.

Kiss_by_anubiskitten

Sortis de l'hôtel, un taxi les attendait. Il la laissa prendre place puis s'assit à côté d'elle. Il donna une adresse au chauffeur et elle posa sa tête sur son épaule, se reposant un peu en essayant d'oublier ce qu'il n'avait pas voulu lui enlever avant de sortir. Il avait posé sa main sur son genou et le caressait doucement mais sans chercher à aller plus loin.


back_by_noi_a

Le taxi s'arrêta et ils descendirent. Elle regarda autour d'elle, mais ne reconnut pas le quartier ou ils se trouvaient.
Il la prit par le coude et la guida le long du trottoir, les talons qu'il lui avait fait mettre étaient d'une hauteur vertigineuse et elle était heureuse qu'il l'aida, car la rue avait été refaite avec un retour en arrière, la pose de pavés .

img_escarpin_bicolore_en_veau_velours_et_talon_vernis_59d1bace6a_s


Elle n'osait rien dire et attendait qu'il veuille bien lui dire ou ils allaient. Il s'arrêta et la fit tourner vers lui.  Elle obtempéra et le regarda. Il lui dit qu'il voulait qu'elle aille seule au restaurant. Il la suivrait et la rejoindrait en temps utile. Il lui précisa que la réservation était faite à son nom. Il lui donna un papier avec l'adresse, l'itinéraire et lui précisa qu'il ne voulait en aucun cas qu'elle prenne un taxi. Elle devait y aller à pied.

IMG_1090 


Elle regarda le plan qu'il lui avait dessiné et commença à avancer. Sa démarche était hésitante car elle se tordait les pieds sur les pavés. Elle n'était pas très rassurée non plus car la rue était quasiment déserte. Mais elle continua tant bien que mal et finit par arriver dans un secteur ou il y avait un peu de mouvement.

Seulement, son soulagement fut de courte durée.

En effet, il y avait pas mal d'hommes qui trainaient, leur présence était justifiée par les femmes qui squattaient les coins de porte, exhibant leur anatomie de façon très explicite.  Il lui fallait passer ce secteur et elle continua donc d'avancer.Elle sentait des regards qui la détaillaient, la déshabillaient.

pict_20080603PHT30736

Elle continua d'avancer en essayant de ne pas se tordre une cheville et elle était gênée car les talons lui donnaient une démarche ondulante qui semblait adaptée au quartier. Un homme marchait derrière elle et lui susurra d'une voix sourde à l'oreille qu'elle était tout à fait à son goût et que son prix était le sien. Elle essaya d'accélérer le pas, mais sans succès.

Il passa une main sur le renflement de ses fesses et elle l'entendit émettre un gloussement appréciateur. Il s'approcha à nouveau d'elle et lui dit qu'il aimait comme elle était habillée et qu'il avait envie d'elle, qu'il lui fourrerait bien sa bite dans la chatte qui devait être bien chaude et accueillante.

Elle s'écarta de lui, essayant de ne pas entendre ses propos, mais il l'attrapa par le bras et la poussa vers un porche. Elle essaya de se débattre, mais il la maintenait fermement et lui banda les yeux.

Il était face à elle . Elle tenta un ridicule et maladroit " je ne suis pas celle que vous croyez" qui resta sans effet et auquel il répondit que jamais une femme comme il faut ne s'aventurerait seule dans un quartier semblable le soir si elle n'était pas une salope en recherche d'émotions fortes et qu'il allait lui en donner.

En disant cela il la plaqua contre le mur et plaça son genou pour lui écarter les cuisses. Il lui tenait les poignets d'une main et l'autre passa sous sa robe pour aller à son sexe. Il stoppa un instant et de la main remonta totalement la robe pour que le sexe soit visible. Dans la mauvaise lumière de ce porche, il regarda le string bijou qu'elle portait en sifflant et la regardant à nouveau il lui dit qu'elle était équipée comme une pute qui cherchait un mâle.

Elle secoua la tête en lui disant qu'elle devait retrouver son compagnon au restaurant et qu'elle ne faisait que suivre l'itinéraire qu'il lui avait donné. Il la maintenait toujours contre le mur, mais il s'était écarté afin de pouvoir mieux jouir du spectacle qu'elle offrait ainsi, robe remontée sur son ventre, laissant voir le string dévoilant son bouton, le haut de ses cuisses encadré par les jarretelles de ses bas. Il se rapprocha et glissa sa main entre ses cuisses pour aller entre ses fesses. Il siffla car ses doigts avaient trouvé la base du bijou qui était toujours fiché dans son anus.

Il sourit en la regardant et lui dit :

"tu voudrais me faire croire que tu n'es pas une pute, avec ça fiché dans ton cul ? Tu n'es qu'une salope qui demande à être foutue de partout ! et avec moi, tu es bien tombée, tu veux du sexe, je peux t'en donner sans problème, je suis plus que bien monté et je te garantis que tu la sentiras passer. Tu en redemanderas."


En disant cela, il se déboutonna  pour en faire sortir un sexe qui semblait plutôt à l'étroit dans son jean. Sa queue se dressait, roide, rouge et perlant déjà d'envie de l'enfiler. Elle se débattit car elle ne voulait pas d'autre sexe en elle que celui de son amant. Elle était une pute, oui, mais sa pute, pas une pute qui voulait que tous les mâles la prennent. Elle lui demanda de ne pas faire cela, qu'elle n'était pas une pute et qu'elle était fidèle à son amant. Il lui répondit qu'il n'en avait que faire de ces discours et qu'il voulait bien être gentil avec elle, mais que pour cela, elle n'avait qu'à le sucer et que si elle le pompait comme il faut, il s'arrangerait à ce qu'elle arrive au restaurant sans être plus embêtée. Comme elle n'avait pas l'air de comprendre il la tira vers le bas, pour qu'elle s'accroupisse devant lui, visage devant sa bite. Il l'attrapa par le visage et lui plaqua le visage contre son bas ventre. Elle ne voulait pas le prendre entre ses lèvres. Cette caresse était pour elle, uniquement destinée à son amant. Mais il n'en avait que faire et il prit sa bite d'une main pour la forcer contre ses lèvres qu'elle écarta. Il glissa sa queue dans sa bouche en poussant un soupir de soulagement et il fit un mouvement de va et vient pour lui donner la cadence. Elle sentait la nausée monter. Elle n'acceptait pas cette queue dans sa gorge. Comme elle rechignait, il lui asséna une claque violente en enfonçant sa queue profond dans sa gorge, provoquant un haut le cœur.  Elle comprit qu'elle devait en passer par là si elle voulait en finir au plus vite avec ce cauchemar.

9abtunngr_ram

Elle ferma les yeux et ravala la bile qui avait envahi sa bouche. Elle essayait d'imaginer que c'était son amant qui lui demandait cela, que c'était lui qui était devant elle, dans sa bouche, que c'était son parfum, son odeur qu'elle sentait et non pas cet inconnu.

Elle se mit à lui sucer la queue, lui caresser les couilles, l'avalant du plus qu'elle pouvait. Elle l'entendait l'encourager en lui disant qu'elle suçait bien pour une petite bourgeoise et que d'ailleurs c'étaient les femmes comme elles qui étaient les meilleures putes qu'il connaissait.

Peu à peu elle se prenait au jeu, après tout ce n'était qu'une queue qu'elle suçait, et cette queue n'était pas aussi grosse ni aussi longue que celle de son amant. Elle gobait cette queue, la suçait comme on déguste une glace, puis l'enfonçait au fond de sa gorge en serrant les lèvres pour le serrer et jouait de ses lèvres comme d'un anneau. Il gémissait de plus en plus, l'exhortant à lui donner le plus de plaisir car il avait un stock de foutre en réserve et qu'il avait bien l'intention de tout lui donner. Elle s'appliquait de plus en plus, toujours accroupie, la chatte totalement livrée à la vue d'éventuels passants. Elle sentait que sa fente mouillait.

Comme elle le pompait de plus en plus, il lui sembla entendre du bruit, elle avait l'impression que quelqu'un les observait. En effet, elle ne pouvait le voir, mais il y avait bien un homme de l'autre côté du porche qui se masturbait consciencieusement en les regardant. Son agresseur n'en avait cure car il sentait sa jouissance arriver. Il l'accompagnait de grands coups de bassin qui lui défonçait la gorge et elle sentit son jus qui arrivait et il gicla puissamment dans sa bouche, la maintenant pour qu'elle ne puisse pas s'échapper et qu'elle l'avale .

Leur spectateur s'approchait, caressant toujours sa bite. Il demanda à l'homme dont elle venait de vider les couilles si il voulait bien lui laisser la place pour qu'il en profite lui aussi. A ce moment là on lui ôta le bandeau et quand elle leva la tête et le vit. Il était là devant elle, bite à la main, la regardant bizarrement en lui avançant sa verge au niveau de ses lèvres et en lui disant qu'il ne pouvait la laisser seule un instant sans qu'elle parte en chasse comme une putain.  Elle baissa la tête et essaya de se relever mais il repoussa lui disant que c'était là sa place, à genoux devant une queue. Il se retourna vers l'homme et lui dit qu'il n'avait qu'à chercher une autre bouche pour se soulager. Que celle ci était à lui et qu'il ne la partageait pas.

XJ8VbjWRUkjdvsk945z5ro9Wo1_500

Cela dit, il se retourna vers elle et lui dit de se dépêcher, car il avait faim. Sa queue se dressait à nouveau roide devant elle. Elle le reprit dans sa bouche, honteuse d'avoir eu tellement peur qu'elle ne l'avait pas reconnu. Elle y mit tout son cœur, le lécha, le suça amoureusement pour se faire pardonner. Sa jouissance vint rapidement, l'inondant une nouvelle fois de foutre qu'elle avala, continua à le lécher pour le nettoyer.

Il se rhabilla pendant qu'elle se relevait, défroissait et arrangeait sa robe, n'osant pas le regarder et attendant un geste de sa part. Il l'aida à remettre de l'ordre dans sa tenue et sans dire un mot l'entraina pour regagner la rue.

Il marchait vite et elle essayait de lui dire qu'elle était désolée de ce qui était arrivé. Elle lui demandait pardon de ne pas l'avoir reconnu, mais elle avait tellement peur qu'elle ne savait plus rien, qu'elle aurait du savoir reconnaitre son sexe.

A ce moment là, elle ressentit quelque chose de bizarre au niveau de son clitoris. Elle avait l'impression qu'il grossissait et que l'ouverture du string bijou devenait trop petite. Cela chauffait et démangeait. Ils continuèrent à avancer, elle se tortillait un peu et voyant cela, il la tira vers une vitrine éclairée et lui releva la robe. Elle se vit, le bouton rouge, gonflé, mouillé. Il passa son doigt dessus, elle sursauta tellement c'était sensible. Il en jouait, souriant de la voir sursauter à chaque toucher. Elle se tordait, avançant son bassin vers son doigt pour sentir plus cette caresse. Elle voulait plus que cela.

Il retira sa main, la robe retomba et il la prit par le bras pour continuer le chemin.
Enfin arrivés au restaurant, il la débarrassa de son manteau, arrangea le col de sa robe en profitant pour caresser le haut de ses seins. Il l'aida à s'asseoir en lui demanda à haute voix ce qui la gênait comme cela. Elle lui répondit en rougissant qu'il n'y avait rien qui la gênait. Mais il insistait, demanda si elle était trop serrée.

Elle réitéra sa réponse en espérant qu'il cesse de la taquiner. Elle essayait de bouger le moins possible, mais elle croisait les jambes, en les serrant pour serrer son sexe et elle sentait monter en elle la chaleur de ce besoin de sexe.

La salle était peu éclairée, des brassées de bougies jetaient ça et là des touches chaudes de lumière et caressaient d'une douceur dorée la peau des femmes assises aux tables, bras nus, décolletées, souriantes, parfumées.

Une cheminée immense occupait le mur principal de la salle. Leur table était un peu retirée du passage, ils avaient une vue sur la salle et sur la cheminée.

pho_10854_pho_photo

Publicité
Commentaires
Snejana
Publicité
Newsletter
Snejana
Publicité