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Snejana
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6 janvier 2011

Exercice de style -7

La porte refermée, il la tira vers la chambre et posa le sac. Elle ne savait quelle contenance avoir, elle attendait qu'il fasse un signe, un geste car elle savait que là, la porte fermée la mettait sous sa totale domination. Elle le savait, l'avait accepté, mais ne savait pas les limites qu'il avait l'intention de poser. Elle frissonna, ce qu'il ne manqua pas de remarquer en lui demandant si elle avait froid à moins qu'elle n'ait peur ?!
Elle répondit qu'elle n'avait pas froid mais c'était plus fort qu'elle. 
Il donna un coup sur la laisse pour l'approcher. Il l'attrapa par le menton et lui leva le visage. Il lui dit qu'elle n'avait aucune raison d'avoir peur. Il aimait être dominateur, mais son plaisir devait être partagé. Il ne ferait rien qu'elle ne veuille ou ne puisse accepter ou supporter.  Il se pencha et effleura ses lèvres. Il s'écarta, déclipsa la laisse et lui dit de se mettre à l'aise. Il voulait qu'elle quitte sa robe et garde ses chaussures, ses bas, son soutien gorge.
Ayant dit cela, il s'assit, la regardant enlever sa veste, puis elle se tourna vers lui afin qu'il l'aide à ouvrir la fermeture éclair de sa robe. Cela fait, elle la fit glisser et l'enjamba. Elle fit un pas en avant, vers lui et attendit. Il lui tendit la laisse et lui dit de se rattacher et de se mettre à genoux.
Elle ne discuta pas, rattacha la laisse à l'anneau et se mit à genoux.

Il la laissa ainsi, attendre puis il lui demanda de tendre les mains vers lui. Elle obéit et il claqua la cravache sur ses paumes, un coup cinglant qui la fit instinctivement refermer la main. Il lui releva la tête et lui dit qu'elle ne devait en aucun cas s'opposer au châtiment qu'il entendait lui donner, à quelque moment que ce soit. Cette fois, serait la seule fois ou il le tolérerait. Avait il été clair ? elle hocha la tête en baissant les yeux.

Il se releva, la faisant suivre le mouvement avec la laisse. Il lui demanda si elle avait obéi et pris le serre taille comme il l'avait dit. Elle alla vers le sac, mais la laisse était trop courte et elle fut arrêtée dans son mouvement. Elle n'eut le temps de ne rien dire, que la cravache claquait sur ses fesses. Elle comprit qu'elle aurait du lui demander l'autorisation de se déplacer.  Elle revint vers lui et se remit à genoux devant lui, pour lui montrer qu'elle entendait lui obéir.

Il la laissa là et alla lui même prendre le serre taille dans le bagage. Cela fait, il la fit se lever, laisse pendante entre ses seins, puis lui tendit le serre taille pour qu'elle le passe. Elle l'enfila et lui présenta son dos afin qu'il puisse serrer les liens qui fermaient le serre taille. Il serra fortement, étranglant sa taille.  Cela fait, il reprit la laisse en main et la fit avancer devant le fauteuil  ou il s'assit, la laissant debout devant lui. Il l'attrapa par les hanches pour la faire pivoter afin qu'elle lui offre sa croupe dénudée. Il promena ses mains sur sa chair, glissant entre ses fesses, puis il poussa sur son dos pour qu'elle s'incline, faisant saillir sa croupe. Il avait les mains douces, chaudes et elle aimait les sentir contre sa peau. Il lui demanda si elle était mouillée, réponse qu'elle ne pouvait donner bien qu'en son for intérieur, elle savait qu'elle mouillait, même si cela la gênait de laisser parler son corps ainsi. Il glissa alors sa main entre ses cuisses pour qu'elle les écarte, libérant le passage vers sa chatte et il put constater qu'elle était quasiment ruisselante. Ses doigts glissèrent ainsi dans sa fente avant de retourner vers son petit trou qu'il caressa, le mouillant de cyprine puis insistant un peu il s'insinua dans son cul, le forçant peu à peu, la faisant gémir alors qu'il lui demandait de lui dire ce qu'elle était pour lui. Elle s'obligea à lui répondre qu'elle était sa salope, sa marionnette, qu'il pouvait user d'elle comme bon lui semblait.

Il retira ses doigts et la fit s'accroupir, cuisses écartées, chatte ouverte devant lui.

Il avait repris la cravache et s'était assis en face d'elle. Il était toujours vêtu et n'avait quitté que sa veste. Elle se sentait l'humiliation la gagner peu à peu de se voir ainsi dévêtue, offrande obscène devant lui, silencieux, le visage sévère, presque dur. Brutalement il enfonça la cravache dans sa chatte, la faisant sursauter en griffant la chair tendre de sa fleur offerte. Puis il retira la cravache pour l'approcher de sa bouche, la posa sur ses lèvres, appuyant pour qu'elle s'ouvre à lui. Elle suça et lécha son suc comme il avait l'air de le vouloir. Il la regardait faire puis, il plongea ses doigts dans la chatte offerte, luisante, les enfonçant sans trop de ménagement puis à nouveau lui tendit à lécher, ce qu'elle refit sans hésiter alors qu'il lui demandait si elle aimait sa saveur, son odeur. A cette question elle allait répondre par un hochement de tête, vite corrigé car elle ne devait pas oublier qu'elle devait répondre de vive voix, il ne se contenterait pas d'un simple signe d'acquiescement....

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