Vendredi 13 février - 16
La
cravache s'approcha de son visage et glissa sous son menton, lui
relevant la tête. Il passa sa cravache sur sa bouche, glissant sur ses
lèvres les caressant et les écartant.
Il pencha la tête en souriant et lui dit qu'il attendait.
Elle
était là devant lui, et il voulait à cet instant qu'elle exprime ce
qu'elle voulait, à savoir qu'il la corrige, la fesse avant de la
prendre. Les mots ne sortaient pas et de le voir attendre, sans avoir
l'air de s'impatienter la bloquait encore plus.
Comme
il voyait qu'elle n'arrivait pas à laisser sortir les mots, il bailla
et en se levant il lui dit qu'elle resterait là, installée, attachée là
tant qu'elle ne lui donnerait pas satisfaction et si cela devait
prendre la nuit, elle passerait la nuit ainsi. Cela dit, il se servit à
boire et retourna s'allonger sur le lit, mettant en sourdine la télé et
la laissant ainsi, objet inutile et humilié.
De
temps en temps il jetait un coup d'œil vers elle et voyant qu'elle
restait silencieuse son regard retournait vers l'écran télé et elle se
sentait s'enfoncer de plus en plus dans ce silence. Elle n'arrivait
plus à en sortir, les mots encombraient sa tête, sa bouche puis
fuyaient la laissant de plus en plus malheureuse
Elle
finit par pousser un gémissement, autant de douleur physique que
morale. Elle ne savait pas comment se faire pardonner, faire comprendre
qu'elle regrettait d'être aussi mal à l'aise avec ses désirs. Il tourna
la tête vers elle, puis se leva pour venir devant elle. Elle leva les
yeux vers lui et murmura qu'elle était désolée de ne pas savoir dire
les mots qu'il voulait entendre.
Il lui prit le visage entre les mains et dit qu'il lui suffisait, si cela lui convenait, de répéter ce qu'il allait énoncer. " j'aimerai, pour mon plaisir et pour le vôtre, que vous me fouettiez comme il convient ". Docilement elle reprit ses mots, un par un et la phrase franchit ses lèvres.
Il se pencha en lui disant que cela n'était pas si difficile de dire ces mots qu'il lui demandait et il l'embrassa doucement.
Sa main caressa sa joue, passa dans ses cheveux, puis glissa sur ses épaules, son dos et s'attarda sur ses fesses. Il les pinça, puis il prit la cravache posée sur le canapé et la leva, lui disant qu'il voulait qu'elle compte les coups de cravache, puis son bras s'abattit, il recommença, recommença jusqu'à ce qu'elle compte vingt.............
Alors il posa la cravache et lui présenta son dard, bandé, tumescent pour que sa bouche s'en occupe. Elle ouvrit les lèvres et l'accueillit. Sa langue le lécha, le dorlota, ses dents jouèrent avec son gland renflé puis elle le fit coulisser dans sa gorge, serrant les lèvres pour le faire gémir. Il l'attrapa par les cheveux et se cambrant il entra profondément en sa gorge.
Il bandait de plus en plus et à un moment il se retira, lâchant ses cheveux et alla se positionner derrière elle, son gland appuyant sur ses lèvres, les écartant et pénétrant au fond d'elle. Il l'attrapa par les hanches, la bloquant et tapant au fond de son vagin fortement, la faisant gémir à chaque coup.
Il
se mit à lui claquer les fesses, les faisant rougir un peu plus encore
et sortant sa queue de la chatte qui l'accueillait, il s'enfonça dans
le petit trou sans ménagement, lui arrachant un gémissement plus long
encore. Planté en elle, il resta sans bouger. Elle se détendit un peu
et il sentit qu'elle réagissait, cela se traduisant par d'infimes
mouvements. Elle commença à bouger son bassin pour le sentir plus
profondément en elle. Puis les mots sortirent de sa bouche, osés, crus,
obscènes.
Elle
ronronnait, lui murmurant qu'elle aimait sentir sa queue la défoncer,
qu'elle aimait qu'il la traite comme sa chienne, sa salope, qu'elle
voulait sentir son foutre l'inonder, déborder de son cul, qu'il coule
le long de ses cuisses.
Au rythme de ces mots il déchargea puissamment son foutre giclant au fond d'elle...