Soumission
Il l'attendait à la gare en cet après midi froide et hivernale. Elle avait obéi à la consigne qu'il lui avait donné avant le départ. Pendant le trajet l'amenant jusqu'à lui, elle était allée dans les toilettes, avait écarté son string pour glisser l'œuf vibrant dans sa chatte. Elle était revenue s'asseoir à sa place, un peu gênée par l'objet, mais en même temps elle sentait son sexe battre et s'émouvoir de cette intrusion.
Il l'embrassa et elle lui remit la télécommande qu'il glissa dans sa poche. Ils lui proposa de passer d'abord à l'hôtel afin qu'elle puisse déposer son bagage. Elle marchait à ses côtés quand elle sentit l'œuf vibrer dans son sexe. Elle n'osait pas le regarder et ne savait pas comment se comporter. Elle décida de faire comme si de rien n'était, espérant qu'il allait arrêter cette douce torture. Elle sentait son sexe se mouiller, le string glissant entre les lèvres et appuyant un peu plus sur l'œuf.
Elle
aperçut son sourire et se douta qu'il n'avait aucunement
l'intention d'abréger sa gêne. Au contraire,elle eut l'impression qu'il
allait tout faire pour qu'elle devienne de plus en plus présente.
Ils
prirent place dans le taxi et elle eut réflexe de croiser les
jambes.Il lui donna une tape sur la jambe et lui murmura de les
décroiser
tout de suite. Elle obtempéra sous la pression de sa main qui en
profita pour forcer ses cuisses à s'écarter légèrement.
Elle
sentait la
chaleur de sa main à travers le tissu de sa robe, puis il s'immisça
dessous et remonta légèrement. Elle ne put s'empêcher de l'emprisonner.
Elle aimait sentir cette main prise au piège essayer de se
libérer, seulement elle ne cherchait pas à se libérer, elle remontait
juste
plus haut vers la fourche de ses jambes.
Alors,
malgré la crainte que
le chauffeur de taxi les surprenne, elle écarta un peu plus les cuisses
pour qu'il puisse vérifier l'état dans lequel elle se trouvait. Son
doigt caressait la peau au bord du string. Il sentait son trouble
inonder son doigt.
Elle ne savait plus trop ou ils se trouvaient lorsque le taxi s'arrêta devant l'hôtel. Il retira sa main à son grand regret.
Pour descendre du taxi, il eut la gentillesse d'arrêter les
vibrations. Elle pouvait donc marcher à peu près normalement, mais avec
l'envie de plus.
Après avoir pris les clés à la réception, ils prirent l'ascenseur et il
remit en marche les vibrations en lui murmurant '" vous allez
l'air d'aimer cela très chère, vos yeux brillent et je devine que vous
en voulez plus, vous êtes une vraie petite pute que j'aurai grand
plaisir à dresser".
Il se colla à elle et elle sentait son sexe érigé contre son ventre.
Le sentir si proche, alors qu'elle avait le sexe inondé, lui donna
envie de
le mordre, ce qu'elle n'osa faire de peur des représailles. Il avait
passé la main sous la robe et ses doigts fouillaient son intimité. Elle
gémit et sentit ses jambes fléchir tellement elle avait envie de plus,
envie de folies.
Elle ne savait pas comment elle était arrivée à sortir de l'ascenseur et à entrer dans la chambre.
A peine entrés, elle se plaqua à lui, lui disant de la prendre, de
faire d'elle ce qu'il voulait, mais de la baiser tellement son sexe était douloureux de désir.
Il la repoussa en lui disant qu'elle n'avait rien à exiger, qu'il était
le maître et qu'il la prendrait lorsque il en aurait envie.
En attendant, il lui enleva son manteau et lui dit de reculer afin
qu'il puisse voir comment elle s'était habillée pour lui plaire.
Elle s'exécuta et resta devant lui.
Alors il bougea et elle vit apparaitre dans ses doigts une baguette ou
une cravache elle ne savait trop. De la pointe de la cravache, il
releva sa robe afin de voir ses cuisses, son string trempé. Il la fit
glisser afin qu'elle écarte les jambes. La cravache remonta encore
et frotta le sexe gonflé. Elle fit pénétrer le string qui disparut
entre les lèvres. Elle sentait cette cravache aller et venir contre son
clitoris alors que ce damné œuf continuait à vibrer en elle. Malgré
elle,
son ventre se tendait vers lui, vers cette cravache qui la masturbait.
Elle ferma les yeux, avec envie de jouir mais la cravache s'éloigna pour continuer son exploration.
Il était derrière elle maintenant et la cravache leva la jupe. Il lui
dit de la retenir car il voulait contempler ce cul. Elle lui obéit,
jambes écartées, la robe remontée, les cuisses à demi nues attendant son bon plaisir.
L'attente ne dura pas. La cravache appuya sur le bas de son dos pour qu'elle se penche. Elle prit la position qu'il voulait et le sifflement de la cravache ne se fit pas attendre et claqua contre ses fesses. Elle étouffa un cri, mais les larmes lui montèrent aux yeux. Elle sentit la marque faite.
Il
revint devant elle et la cravache se plaça sous le menton pour
qu'elle se relève. Elle obéit, sans lever les yeux vers lui car elle
savait qu'une punition arriverait. Ses lèvres se posèrent sur les
siennes et il lui murmura qu'il aimait les petites putes quand elles
se montrent obéissantes.
Elle aimait ce baiser, le feu de son ventre ne s'était pas éteint, au contraire.
Il posa ses mains sur la ceinture de la robe qu'il défit.
Ensuite, il déboutonna les boutons et ses mains écartèrent l'encolure
pour dégager le cou, ses lèvres se posant dans le creux, ce baiser la faisait vibrer..
Elle lui demanda s'il voulait qu'elle quitte cette robe, accord qu'il
lui donna vivement. La robe chut à côté d'elle, elle était maintenant
à
demi dénudée devant lui.
Il la prit par le coude et l'avança vers un canapé assez profond. Il lui enleva son string et lui dit de s'installer dans ce canapé, le cul en l'air, les mains et le visage par terre, offerte comme une esclave au plaisir de son maître.
Elle resta ainsi, la tête baissée, à ses pieds.
Il
promena
lentement la cravache sur le corps prostré , hésitant peut être sur la
zone qu'il voulait marquer. Le coup de cravache cuisait encore sur les
fesses et
la cravache le titille un peu. Il leva le bras et la cravache
marqua à nouveau ses fesses, croisant la précédente. Elle ne voulait
pas lui donner le plaisir de gémir, mais la douleur était présente et
en même temps elle était terriblement
excitée par cette position humiliante, d'offrande à un maître.
Elle
sentait sa présence derrière elle, il lui banda les yeux. Ensuite,
il écarta ses cuisses afin que le sexe soit visible et ouvert. Elle
sentait sa cyprine couler et appeler ce sexe d'homme . Ce sexe qu'elle
sentait contre ses fesses. Il le promenait en vous caressant. Elle
sentit son bout
frotter contre son clitoris, remonter entre ses fesses ou il allait et
venait alors qu'elle l'aurait voulu en elle.
Les
mains remontèrent dans
le dos et glissèrent sous ses aisselles afin de prendre ses seins . Il
la cambra, faisant jaillir les fesses tendues vers le sexe, seins pris
dans ses mains.
Elle murmura qu'elle n'en pouvait plus, qu'elle le voulait et la
réaction ne se
fit pas attendre. Il lui pinça brutalement les seins en lui disant
qu'il n'avait pas d'ordre à recevoir d'une femme aussi salope qu'elle.
Il
lui faisait mal et il savait qu'elle savourait ce mal qu'il lui
infligeait.Elle se tordait et en profitait pour se frotter contre cette
queue dure et tendue. Les mains libérèrent les seins et elle était à
nouveau penchée en avant, attendant
son bon plaisir.
Toujours aveugle, elle entendit du bruit et une douleur vive lorsqu'il pinça quelque chose sur le bout des seins. Cette douleur ne vint pas seule car très vite d'autres pinces se posèrent sur les lèvres de son sexe. La tension était réglée de façon à ce que celles ci maintiennent le sexe ouvert.
La
douleur était intense et elle ne put s'empêcher de
gémir et de le supplier d'enlever cela. Sans écouter sa demande, il la
releva et elle se retrouva à genoux devant lui. Alors, il poussa son
sexe vers sa bouche en lui disant " Fais ton boulot, putain suce moi
bien, sinon tu seras punie." Elle ouvrit la bouche et sa langue
parcourt
ce vit, chaud, soyeux, dur. Elle le mouille de salive. Elle l'avale,
le suce, le pompe avec délice. Ma langue s'aventura sur les couilles.
Elle le reprit entre ses lèvres. Elle allait et venait et le prenait
de plus en plus profond. Il butait contre sa gorge, mais cela
n'avait pas l'air de lui suffire car il lui pinça le nez afin qu'elle
ouvre encore plus les mâchoires et il accentua l'enfoncement de
son sexe dans cette gorge. Elle étouffait et il riait de la voir
essayer de se dégager. A chaque mouvement de retrait que qu'elle
tentait, il lui mettait une claque en me disant qu'il allait lui
apprendre à être une bonne petite esclave qui aimait faire des gorges
profondes.
Elle sentait ce sexe emplir totalement sa bouche et sa
gorge et comme si cette souffrance n'était pas assez intense à votre
idée, il attrapa les chainettes qui reliaient les pinces des seins au
sexe
et il tira suffisamment pour qu'elle ressente un regain de douleur...