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Snejana
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4 novembre 2010

Soumission

  Il l'attendait à la gare en cet après midi froide et hivernale. Elle avait obéi à la consigne qu'il lui avait donné avant le départ. Pendant le trajet l'amenant jusqu'à lui, elle était allée dans les toilettes, avait écarté son string pour glisser l'œuf vibrant dans sa chatte. Elle était revenue s'asseoir à sa place, un peu gênée par l'objet, mais en même temps elle sentait son sexe battre et s'émouvoir de cette intrusion.

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Il l'embrassa et elle lui remit la télécommande qu'il glissa dans sa poche. Ils lui proposa de passer d'abord à l'hôtel afin qu'elle puisse déposer son bagage. Elle marchait à ses côtés quand elle sentit l'œuf vibrer dans son sexe. Elle n'osait pas le regarder et ne savait pas comment se comporter. Elle décida de faire comme si de rien n'était, espérant qu'il allait arrêter cette douce torture. Elle sentait son sexe se mouiller, le string glissant entre les lèvres et appuyant un peu plus sur l'œuf.

Elle aperçut son sourire et se douta qu'il n'avait aucunement l'intention d'abréger sa gêne. Au contraire,elle eut l'impression qu'il allait tout faire pour qu'elle devienne de plus en plus présente.
Ils prirent place dans le taxi et elle eut  réflexe de croiser les jambes.Il lui donna une tape sur la jambe et lui murmura de les décroiser tout de suite. Elle obtempéra sous la pression de sa main qui en profita pour forcer ses cuisses à s'écarter légèrement.

Elle sentait la chaleur de sa main à travers le tissu de sa robe, puis il s'immisça dessous et remonta légèrement. Elle ne put s'empêcher de l'emprisonner. Elle aimait sentir cette main prise au piège essayer de se libérer, seulement elle ne cherchait pas à se libérer, elle remontait juste plus haut vers la fourche de ses jambes.

Alors, malgré la crainte que le chauffeur de taxi les surprenne, elle écarta un peu plus les cuisses pour qu'il puisse vérifier l'état dans lequel elle se trouvait. Son doigt caressait la peau au bord du string. Il sentait son trouble inonder son doigt.
Elle ne savait plus trop ou ils se trouvaient lorsque le taxi s'arrêta devant l'hôtel. Il retira sa main à son grand regret.
Pour descendre du taxi, il eut la gentillesse d'arrêter les vibrations. Elle pouvait donc marcher à peu près normalement, mais avec l'envie de plus.

Après avoir pris les clés à la réception, ils prirent l'ascenseur et il remit en marche les vibrations en lui murmurant '" vous allez l'air d'aimer cela très chère, vos yeux brillent et je devine que vous en voulez plus, vous êtes une vraie petite pute que j'aurai grand plaisir à dresser".
Il se colla à elle et elle sentait son sexe érigé contre son ventre. Le sentir si proche, alors qu'elle avait  le sexe inondé, lui donna envie de le mordre, ce qu'elle n'osa faire de peur des représailles. Il avait passé la main sous la robe et ses doigts fouillaient son intimité. Elle gémit et sentit ses jambes fléchir tellement elle avait envie de plus, envie de folies.

Elle ne savait pas comment elle était arrivée à sortir de l'ascenseur et à entrer dans la chambre.
A peine entrés, elle se plaqua à lui, lui disant de la prendre, de faire d'elle ce qu'il voulait, mais de la baiser tellement son  sexe était douloureux de désir.
Il la repoussa en lui disant qu'elle n'avait rien à exiger, qu'il était le maître et qu'il la prendrait lorsque il en aurait envie.
En attendant, il lui enleva son manteau et lui dit  de reculer afin qu'il puisse voir comment elle s'était habillée pour lui plaire.
Elle s'exécuta et resta devant lui.

Alors il bougea et elle vit apparaitre dans ses doigts une baguette ou une cravache elle ne savait trop. De la pointe de la cravache, il releva sa robe afin de voir ses cuisses, son string trempé. Il la fit glisser afin qu'elle  écarte les jambes. La cravache remonta encore et frotta le sexe gonflé. Elle fit pénétrer le string qui disparut entre les lèvres. Elle sentait cette cravache aller et venir contre son clitoris alors que ce damné œuf continuait à vibrer en elle. Malgré elle, son ventre se tendait  vers lui, vers cette cravache qui la masturbait.
Elle ferma les yeux, avec  envie de jouir mais la cravache s'éloigna pour continuer son exploration.
Il était derrière elle maintenant et la cravache leva la jupe. Il lui dit de la retenir car il voulait contempler ce cul. Elle lui obéit, jambes écartées, la robe remontée, les cuisses à demi nues attendant son bon plaisir.

L'attente ne dura pas. La cravache appuya sur le bas de son dos pour qu'elle se penche.  Elle prit la position qu'il voulait et le sifflement de la cravache ne se fit pas attendre et claqua contre ses fesses. Elle étouffa un cri, mais les larmes lui montèrent aux yeux. Elle sentit la marque faite.

Il revint devant elle et la cravache se plaça sous le menton pour qu'elle se relève. Elle  obéit, sans lever les yeux vers lui car elle savait qu'une punition arriverait. Ses lèvres se posèrent sur les siennes  et il lui murmura qu'il aimait les petites putes quand elles se montrent obéissantes.
Elle aimait ce  baiser, le feu de son ventre ne s'était pas éteint, au contraire.
Il posa ses mains sur la ceinture de la robe qu'il défit. Ensuite, il déboutonna les boutons et ses mains écartèrent l'encolure pour dégager le cou, ses lèvres se posant dans le creux, ce baiser la faisait vibrer..
Elle lui demanda s'il voulait qu'elle quitte cette robe, accord qu'il lui donna vivement. La robe chut à côté d'elle, elle était  maintenant à demi dénudée devant lui.

Il la prit par le coude et l'avança vers un canapé assez profond. Il lui enleva son  string et lui dit de s'installer dans ce canapé, le cul en l'air, les mains et le visage par terre, offerte comme une esclave au plaisir de son maître.

Elle resta  ainsi, la tête baissée, à ses pieds.
Il promena lentement la cravache sur le corps prostré , hésitant peut être sur la zone qu'il voulait marquer. Le coup de cravache cuisait encore sur les fesses et la cravache le titille un peu. Il leva  le bras et la cravache marqua à nouveau ses fesses, croisant la précédente. Elle ne voulait pas lui  donner le plaisir de gémir, mais la douleur était présente  et en même temps elle était terriblement excitée par cette position humiliante, d'offrande à un maître.
Elle sentait sa présence derrière elle, il lui banda les yeux. Ensuite, il écarta  ses cuisses afin que le sexe soit visible et ouvert. Elle sentait sa cyprine couler et appeler ce sexe d'homme . Ce sexe qu'elle sentait contre ses fesses. Il le promenait en vous caressant. Elle sentit son bout frotter contre son clitoris, remonter entre ses fesses ou il allait et venait alors qu'elle l'aurait voulu en elle.

Les mains remontèrent dans le dos et glissèrent  sous ses aisselles afin de prendre ses seins . Il la cambra, faisant jaillir les fesses tendues vers le sexe, seins pris dans ses mains. Elle murmura qu'elle n'en pouvait plus, qu'elle le voulait et la réaction ne se fit pas attendre. Il lui pinça brutalement les seins en lui disant qu'il n'avait pas d'ordre à recevoir d'une femme aussi salope qu'elle.
Il lui faisait mal et il savait qu'elle savourait ce mal qu'il lui infligeait.Elle se tordait et en profitait pour se frotter contre cette queue dure et tendue. Les mains libérèrent les seins et elle était à nouveau penchée en avant, attendant son bon plaisir.

Toujours aveugle, elle entendit  du bruit et une douleur vive lorsqu'il pinça quelque chose sur le bout des seins. Cette douleur ne vint pas seule car très vite d'autres pinces se posèrent  sur les lèvres de son sexe. La tension était réglée de façon à ce que  celles ci maintiennent le sexe ouvert.

La douleur était intense et elle ne put s'empêcher de gémir et de le supplier d'enlever cela. Sans écouter sa demande, il la releva et elle se retrouva  à genoux devant lui. Alors, il poussa son sexe vers sa bouche en lui disant " Fais ton boulot, putain suce moi bien, sinon tu seras punie." Elle ouvrit la bouche et sa langue parcourt ce vit, chaud, soyeux, dur. Elle le mouille de  salive. Elle l'avale, le suce, le pompe avec délice. Ma langue s'aventura sur les couilles. Elle le reprit  entre ses lèvres. Elle allait et venait et le prenait de plus en plus profond. Il butait contre sa gorge, mais cela n'avait pas l'air de lui suffire car il lui pinça le nez afin qu'elle ouvre encore plus les mâchoires et il accentua l'enfoncement de son sexe dans cette gorge. Elle étouffait et il riait de la voir essayer de se dégager. A chaque mouvement de retrait que qu'elle tentait, il lui mettait une claque en me disant qu'il allait lui apprendre  à être une bonne petite esclave qui aimait faire des gorges profondes.
Elle sentait ce sexe emplir totalement sa bouche et sa gorge et comme si cette souffrance n'était pas assez intense à votre idée, il attrapa  les chainettes qui reliaient les pinces des seins au sexe et il tira suffisamment pour qu'elle ressente un regain de douleur...

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